Beiträge zur französischen Syntax des XVI. Jahrhunderts

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A. Deichert, 1885 - French language - 139 pages
 

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Page 2 - L'Heptaméron des nouvelles de très haute & très illustre princesse Marguerite d'Angoulème, reine de Navarre. Nouvelle édition publiée sur les manuscrits par la Société des Bibliophiles francois.
Page 131 - ... peine de faire un recueil de tous les mauvais tours que les femmes ont faict aux pauvres hommes, et si ne diray rien que pure vérité.
Page 25 - Qu'à un subject l'oeil obscur de son Prince Est bien la chose en la terre habitable, La plus à craindre, et la moins souhaitable. Si m'en allay...
Page 1 - Œuvres françaises de Bonaventure Des Periers, revues sur les éditions originales et annotées par M. Louis Lacour. Paris, P. Jannet, 1856-57, 2vol.
Page 75 - UNE MAL CONTENTE D'AVOIR ESTÉ SOBREMENT LOUÉE ET SE PLAIGNANT NON SOBREMENT (Attribuée à Mellin de Saint-Gelais.) Pour tous les biens qui sont deçà la mer, Je ne voudrais vous ny autre blasmer Contre raison, en sorte qu'on peut dire Que je me mets volontiers à mesdire. Mais si faut il que vous croyez aussi Que je n'ay pas tant besoin, Dieu mercy, De vos faveurs, qu'on me fist consentir, En vous louant, de flater ou mentir. Je laisse à ceux faire ceste courvée Qui n'ont encor...
Page 111 - ALEXANDRE Minos (comme il me semble), Tu dois sçavoir, et n'es pas ignorant, Qu'onc ne souffris homme de moy plus grant, Ne qui à moy fust pareil ou egal; Mais, tout ainsi comme l'aigle royal Estend son vol plus près des airs celestes Que nul oyseau, par belliqueuses gestes J'ay surmonté tous humains aux harnoys; Parquoy ne veulx que ce Carthaginoys Ayt bruyt sur moy, ne costoye ma chaise.
Page 1 - Œuvres complètes, revues sur les éditions originales; avec préface, notes et glossaire, par M. Pierre Jannet.
Page 53 - Et grand joueur en son vivant, Non pas joueur de dez ne quilles, Mais de belles Farces gentilles. Auquel jeu jamais ne perdit, Mais y gaigna bruit et credit, Amour et populaire estime, Plus que d'escuz, comme j'estime.
Page 97 - Le bon vieillard après moy travailloit, Et à la lampe assez tard me veilloit, Ainsi que font leurs sansonnetz ou pyes Auprès...
Page 53 - Et combien que je soys l'un des moindres de ceulx desquelz vous meritez le service, je me tiens pourtant asseuré que voz grandes perfections, lesquelles j'admire, seront cause d'augmenter en moy les choses qui sont requises à bien servir : car, quant au cueur, je l'ay si bon et si affectionné envers vous , qu'il est impossible de plus ; lequel j'espère vous faire congnoistre si evidemment , que vous ne serez jamais mal contente de m'avoir donné l'occasion de vous demeurer perpetuellement serviteur.

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