Fin du supplément aux Éphémérides de l'Hôpital Saint-Jean et de l'Hospice de la Misércorde de Perpignan

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J. B. Alzine, 1863 - 40 pages
 

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Popular passages

Page 23 - Michel Molins, décédé à Marseille, lègue à l'Hôpital la somme de 1.200 fr. (Livre des Bienf., fol. 67.) 1790. — M. Jean de Ribes, directeur de la monnaie de Perpignan, fait plusieurs dons à la Miséricorde, s'élevant ensemble à
Page 30 - notaire, lègue la somme de 1.000 fr., quitte de tous droits généralement quelconques, à partager entre l'Hôpital et la Miséricorde, avec la recommandation expresse qu'il devra être célébré à perpétuité un service funèbre pour le repos de son âme, le jour anniversaire de son décès,
Page 24 - mai, lègue à cette maison hospitalière la somme de 1.000 fr. pour être employée en achat de draps de lit et de chemises pour le service des malades civils. (Idem, fol. 78.) 1816.—M. de Villiers du Terrage, préfet du
Page 30 - d'aumône, sans désignation d'emploi, M. Sylvestre Vilallongue fils, administrateur, s'est fait un pieux devoir de verser, au nom de sa famille, celte somme à la caisse hospitalière, le 30 novembre. (Idem, fol. 106.) d'indulgence à gagner chaque fois que l'on priera soit au Calvaire, soit devant l'Oratoire de la Vierge. 1860. — M. Joseph
Page 27 - Ricard, propriétaire à Perpignan, fait l'aumône de 1.200 fr., à partager entre l'Hôpital et la Miséricorde; somme versée à la caisse des Hospices le 23 novembre. (Idem, fol. 100.) 1848.—Madame Thomase Frigola, veuve Carcassonne, fait, au nom de la demoiselle Rosé Frigola, l'aumône de 500 fr. à l'Hôpital. (Idem, fol. 100.) 1850.—M. De
Page 16 - maison, avec paillasse, matelas, draps, couvertures, chemise et bonnet de nuit, pour un malade. Il prie le Préfet du collège de Perpignan, de veiller à l'exécution de cette fondation, et à faire changer les draps, chemise et bonnet de nuit chaque quinze jours en hiver et chaque huit jours en été.—Testament reçu par Rovira, notaire. (Idem, fol.
Page 29 - visite les salles et adresse, aux nombreux malades qu'elles contiennent, des paroles de consolation et d'espérance, avec cette bonté qui le caractérise. 1856. — M. le baron Guiraud de Saint-Marsal (Raymond-Marc-Antoine), colonel du génie en retraite, ancien maire de Perpignan, administrateur des hospices, commandeur de l'ordre impérial de la Légion-d'Honneur, par
Page 16 - reçu par Arles et Carrère, notaire, le 27 juin. (Idem, fol. 1.) 1654. — François Biossa, d'Arles, fait donation de tous ses biens à l'Hôpital, sous la condition qu'on l'entretiendra sa vie durant, en santé comme en maladie, dans la maison hospitalière. — Acte reçu par Thomas Ferriol, notaire. (Idem, fol,
Page 4 - . A cette époque, on voulait également réunir une partie des revenus des Hôpitaux de la province à Notre-Dame-de-Miséricorde; mais on dut y renoncer, à cause de l'opposition que firent les administrateurs de ces établissements. En publiant le montant des revenus de chacune des Léproseries, ainsi que le tableau des Hôpitaux qui, à la
Page 31 - d'indulgence à gagner chaque fois que l'on priera soit au Calvaire, soit devant l'Oratoire de la Vierge. 1860. — M. Joseph Llobet et ses frères, propriétaires à Perpignan, versent, le 11 juillet, à la caisse des Hospices, au nom de M. Charles Llobet, leur oncle, la somme de 1.000

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