Geschichte des achtzehnten Jahrunderts und des Neunzehnten bis zum Sturz des Französischen Kaiserreichs: Bd. Bis April 1797J.C.B. Mohr, 1856 |
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Adel Armee Augenblick Ausschuß Bailly beiden blos Bonaparte Bürger Camille Desmoulins Clairfait Clubs Constitution constitutionellen Convent d'Elbée daher damals Danton Decret Deputirten deſſen deßhalb dieſe drei dritten Standes Dümourier Einfluß Emigranten endlich England erklärte erst Feinde Frankreich Franzosen freilich Freunde ganze Garde General Geschichte Geseze Gironde Girondisten gleich Graf große Heer heftigen heißt hernach Herzog Holland Jacobiner Jahre jezt Jourdan Juli Juni Kaiser Kaiſerin König von Preußen konnte Krieg Lafayette Land laſſen Leute lezten lich ließ Ludwig XVI machte Mann Marat Maßregeln Minister Mirabeau Mitglieder Mord müſſen mußte Nationalgarde Nationalversammlung Necker neue Oesterreicher Palais Royal Paris Parlament Parthei Pichegrü Pitt Polen Potemkin Preußen preußischen Prinzen Rath Regierung Reichs Reichstag Republik Republikaner Revolution Rhein Robespierre Ruſſen russische Rußland Sectionen ſei ſein ſeine ſich ſie Sigung Sizung sollte Spiße Stadt Stände Tage Talleyrand Theil Toulon Truppen Türken unsern Vendée Verfaſſung Versammlung Vertheidigung viel Volk vorher ward Weise wieder wollte Wurmser zwei
Popular passages
Page 560 - La preuve nécessaire pour condamner les ennemis du peuple est toute espèce de document, soit matérielle, soit morale, soit verbale, soit écrite, qui peut naturellement obtenir l'assentiment de tout esprit juste et raisonnable. La règle des jugements est la conscience des jurés éclairés par l'amour de la patrie ; leur but, le triomphe de la république et la ruine de ses ennemis ; la procédure, les moyens simples que le bon sens indique pour parvenir à la connaissance de la vérité dans...
Page 52 - Il me semble que la nation assemblée n'a pas à recevoir d'ordre. » monsieur, nous avons entendu les intentions qu'on a suggérées au roi ; mais vous, qui ne sauriez être son organe auprès de l'Assemblée nationale, vous qui n'avez ici ni place, ni voix, ni droit de parler, vous n'êtes pas fait pour nous rappeler son discours.
Page 402 - Tous les citoyens en état de porter les armes, et ayant déjà fait le service de gardes nationales, seront aussi en état d'activité permanente.
Page 314 - Dumouriez avait plus qu'eux, tout ce qu'on appelle de l'esprit, et moins qu'aucun , de moralité. Diligent et brave , bon général , habile courtisan , écrivant bien , s'énonçant avec facilité , capable de grandes entreprises , il ne lui a manqué que plus de caractère pour son esprit , ou une tête plus froide pour suivre le plan qu'il avait conçu.
Page 52 - Oui, Monsieur, nous avons entendu les intentions qu'on a suggérées au roi. Et vous, qui ne sauriez être son organe auprès des États Généraux, vous qui n'avez ici ni place ni droit de parler, vous n'êtes pas fait pour nous rappeler son discours.
Page 561 - Tout citoyen a le droit de saisir et de traduire devant les magistrats les conspirateurs et les contrerévolutionnaires. Il est tenu de les dénoncer dès qu'il les connaît; X.
Page 349 - Oui , c'étoit alors au beau-frère et à l'allié du roi à inviter les autres puissances de l'Europe de se concerter avec lui pour déclarer à la France : ' • " « Qu'ils regardent tous la cause du roi très - chrétien comme la leur propre ; . » Qu'ils demandent que ce prince et sa famille soient mis sur-le-champ en...
Page 121 - Cette protestation ne porte pas même, ainsi que le contenu du mémoire l'atteste, sur le fond des principes de la Constitution, mais sur la forme des sanctions, c'est-à-dire sur le peu de liberté dont je paraissais jouir, et sur ce que les décrets n'ayant pas été présentés en masse, je ne pouvais pas juger de l'ensemble de la Constitution.
Page 349 - ... de concert, tous les moyens qui sont en leur puissance, pour faire cesser le scandale d'une usurpation de pouvoir qui porterait...
Page 560 - Le tribunal révolutionnaire est institué pour punir les ennemis du peuple. Les ennemis du peuple sont ceux qui cherchent à anéantir la liberté publique, soit par la force, soit par la ruse. Sont réputés ennemis du peuple ceux qui auront provoqué le rétablissement de la royauté ou cherché à avilir et dissoudre la Convention nationale, et le Gouvernement révolutionnaire et républicain, dont elle est le centre.