Gustave III. jugé comme roi et comme homme, Volume 1P. A. Norstedt et fils, 1868 - 409 pages |
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Popular passages
Page 359 - Souvent un peu de vérité Se mêle au plus grossier mensonge : Cette nuit, dans l'erreur d'un songe, Au rang des rois j'étais monté. Je vous aimais, princesse, et j'osais vous le dire! Les dieux à mon réveil ne m'ont pas tout ôté; Je n'ai perdu que mon empire.
Page 347 - Sire, ce pouvoir arbitraire pendant deux jours ; mais vous venez de rendre la liberté à la nation, action qui n'a presque point d'exemple et que je ne pouvais pas prévoir, malgré l'opinion que j'ai toujours eue de vos grandes qualités.
Page 347 - J'ai été obligé, sire, de vous désobéir, parce que j'ai cru que les états ne pouvaient lever le serment que je leur avais fait, et parce que je ne voulais pas servir d'instrument au pouvoir arbitraire que j'ai en horreur, et que je croyais devoir être une suite de cette révolution.
Page 347 - ... c'est donc en bonne conscience que je reporte mon hommage aux pieds de Votre Majesté. Mais, Sire, permettez qu'après avoir parlé à mon roi, je m'adresse à mon ami; ce terme, de la part d'un sujet, ne doit pas choquer les oreilles de Gustave. Vous avez outragé mon cœur. Un mot m'eût fait voler à vos côtés. Il ya eu un complot contre votre personne, et vous ne me le dites point. Je ne l'ai appris qu'hier au soir.
Page 84 - SM se souvienne de ce que j'ai eu la satisfaction de lui dire, lorsqu'à Berlin j'ai joui de sa présence. Je crains bien que les suites de cette affaire n'entraînent...
Page 347 - ... pendant deux jours ; mais vous venez de rendre la liberté à la nation : action qui n'a presque point d'exemple, et que je ne pouvais prévoir, malgré l'opinion que j'ai toujours eue de vos grandes qualités ; c'est donc en bonne conscience que je reporte mon hommage aux pieds de Votre Majesté.
Page 362 - Pétersbourg pour l'entretenir et trouver les moyens de la faire entrer dans vos projets. Je dis là-dessus que vous aviez des entraves, que, par votre serment du Sacre, vous ne...
Page 254 - ... sacrifice de mes mécontentements personnels; je les ai considérées comme ces nuages qui s'élèvent après un long calme, j'ai pensé que la patience et la persévérance pouvaient seules les dissiper; car la force de la vérité l'emporte à la longue et son jour éclate enfin, au moment même où l'on s'efforce de l'obscurcir. Nos annales en font foi; un des plus illustres de mes prédécesseurs, le roi dont j'ai l'honneur de porter le nom, Gustave Erikson, le libérateur de la patrie, éprouva...
Page 217 - ... de la providence ces bienfaits ont été mon ouvrage, cependant nous avons eu à éprouver les vicissitudes de la nature, auxquelles les hommes ne sauraient se soustraire. Pendant près de trois ans, les fruits de la terre (la première et la vraie richesse) nous ont été refusés; et cette disette n'a pas peu contribué à rendre plus pesant pour moi le fardeau de ma couronne, car vos besoins, mes chers sujets, sont les miens; notre gloire et notre fortune sont communes; vous êtes déjà informés...
Page 362 - Sacre, vous ne pouviez passer les bornes des frontières sans une permission des États. Il répondit qu'il le savait, mais qu'il fallait trouver le moyen de les y faire consentir, avant que la Diète fût terminée.