Recueil périodique de la Société de médecine de Paris, Volume 251806 - Medicine |
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Common terms and phrases
accidens affections alimens Anatomie Anatomie comparée anevrismes animaux apyrexie artères assez ataxique avoient avoit bain Barthez boisson camphrée carbonate cataracte causes cerveau chaleur champign chaux Ciel couv compression connoissance connoître considérations corps cuisse d'eau décigrammes décoction différentes Dinan dissolution douleurs dyssenterie eaux miné eaux minér effets élémens épidémie espèce étoient étoit fémur fièvre fluide forces sensitives Fracture froid général grains grammes jour l'acide l'action l'alkool l'auteur l'eau de Passy l'estomac lèpre long-tems magnésie maladie maladies périodiques matière méd médecine médicale médicamens membrane ment métastase méthode mouvemens moyens muqueuse muriate muscles n'avoit nerfs nerveux oblique observations onces organes pansement paroît phénomènes plaie postérieure potasse poumon pouvoit praticiens précipité principe vital quantité quinquina radesyge rales de Passy rapport remèdes résidu sang sangsue Sarcone science de l'homme scorbut seroit seulement siccité structure substance sulfate sulfurique suppuration sur-tout symptômes systême tartrite tems tétanos tion tissu toniques toux traitement trochanter vaisseaux végéto vésicatoire
Popular passages
Page 90 - On peut la distinguer par-là des dentelures de la mâchoire ellemême, ou de certains corps durs, mais non osseux, qui revêtent les mâchoires sans y être implantés , comme les becs , etc. Les dents proprement dites ne se trouvent que dans trois classes d'animaux , savoir , les mammifères , les reptiles et les poissons : encore toutes les espèces de ces classes n'en sont-elles point pourvues ; les fourmiliers, les pangolins , les échidnés et les baleines parmi les mammifères, les tortues...
Page 67 - Ce phénomène rare, ob» servé chez une personne bien digne d'intéresser, • fut un objet d'attention pour les médecins, et de » curiosité pour le public. »Je ne me dissimule point, poursuit M. Del• pit, que les faits de ce genre, en opposition » avec toutes les lois connues de la nature , ne doi» vent point obtenir sans difficulté ni sans restric»tion l'assentiment des esprits sages qui craignent »d'être abusés.
Page 77 - II me paraît qu'on ne peut s'empêcher de distinguer le principe vital de l'homme d'avec son âme pensante. Cette distinction est essentielle, soit qu'on imagine que ces deux principes existent par eux-mêmes ou sont des substances ; soit qu'on suppose qu'ils existent comme des attributs...
Page 67 - II ya cinq ans, dit • cet auteur célèbre, qu'une jeune demoiselle du »département de l'Ardèche, venue à Montpellier »pour consulter les médecins sur une affection hys»térique accompagnée de catalepsie (on voit que »c'est toujours la même maladie), donna l'exem
Page 196 - Théorie, les Maladies sont en général déterminées automatiquement par l'action des causes morbifiques, soit externes, soit internes; conformément à des Lois qui sont établies pour le Principe Vital, et qui ne sont ni mécaniques ni arbitraires.
Page 191 - LA Philosophie Naturelle a pour objet la recherche des causes des phénomènes de la Nature ; mais seulement en tant qu'elles peuvent être connues d'après l'expérience. L'expérience ne peut nous faire connaître en quoi consiste essentiellement l'action d'une de ces causes quelconques (comme, par exemple, celle du mouvement des corps qui est produit par l'impulsion...
Page 442 - Bulletin des sciences médicales, par les membres du Comité central de la Société de médecine, chirurgie et pharmacie du même département.
Page 192 - ... faits qui sont plus familiers, et qui dès lors semblent être plus connus.... Dans toute science naturelle les hypothèses qui ne sont pas déduites des faits propres à cette science, et qui ne sont que des conjectures sur les affections possibles d'une cause occulte, doivent être regardées comme contraires à la bonne méthode de philosopher ». Discours préliminaire des Nouveaux éléments de la science de l'homme, page 5 et suiv., 2
Page 225 - Philosophie chimique, ou vérités fondamentales de la chimie moderne, destinées à servir d'élémens pour l'étude de cette science; Par AF Foureroy...
Page 33 - ... dans les baignoires, se trouve mal couvert et en contact presque immédiat avec l'air atmosphérique. L'eau des ladres est au trente-deuxième degré etdemi. Nous nous sommes convaincus qu'elle possédoit cette onctuosité qu'on avoit indiquée, et sur laquelle l'auteur du premier mémoire n'avoit pu prononcer. Il n'est pas inutile de remarquer que cette onctuosité se manifeste d'une manière peu sensible dans les premiers...