L'Art moderne, Volume 30Imp. Ve Monnom., 1910 - Art |
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10 FRANCS L'AN ABONNEMENT ANDRÉ Anglais antique Bach Beaux-Arts Beethoven belge Belgique Blanche Selva Bruxelles Camille Lemonnier Cercle artistique César Franck chant charme choses Claude Debussy compositeur concert concours conférences Conservatoire CONSTANTIN MEUNIER d'art d'Indy D'OR A L'EXPOSITION Debussy décor dimanche direction drame eaux-fortes Edmond Émile Verhaeren FÉLICIEN ROPs GEORGES RENCY Hollande Houffalize internationale interprètes JEAN DOMINIQUE joli l'artiste l'Exposition de Bruxelles l'œuvre l'orchestre Libre Esthétique Liége littérature livre lyrique Maeterlinck Maurice mélodies ment Mile MIOMANDRE MODERNE REVUE Musée musical musiciens musique NETTOYAGE ET VERNISSAGE NOTES DE MUSIQUE OCTAVE MAUS OEST œuvres orchestre paysage peintre PETITE CHRONIQUE pianiste piano poème poésie poète prochain programme Quatuor représentations REVUE CRITIQUE HEBDOMADAIRE ROPS RUE DE L'INDUSTRIE Salle Patria Salon scène Schumann sculpture sentiment sera siècle Société Sonate Spécialité succès Sylvain Dupuis symphonique talent TAPIS D'ORIENT Téléphone 1947 Fabrique théâtre tion vélin Verhaeren VERNISSAGE DE TABLEAUX Vincent d'Indy violon Ysaye
Popular passages
Page 298 - Paraît le l" et le 16 de chaque mois, et forme dans l'année six volumes Littérature, Poésie, Théâtre, Musique, Peinture, Sculpture Philosophie. Histoire, Sociologie, Sciences, Voyages Bibliophilie, Sciences occultes Critique, Littératures étrangères, Revue de la Quinzaine La Revue de la Quinzaine s'alimente à l'étranger autant qu'en France elle offre un nombre considérable de documents, et constitue une sorte d' « encyclopédie au jour le jour » du mouvement universel des idées.
Page 125 - Imiter le Chinois au cœur limpide et fin De qui l'extase pure est de peindre la fin Sur ses tasses de neige à la lune ravie D'une bizarre fleur qui parfume sa vie Transparente, la fleur qu'il a sentie, enfant, Au filigrane bleu de l'âme se greffant.
Page 199 - Je reconnais les Grecs pour nos maîtres. Cependant il faut qu'ils m'accordent l'usage du trésor de mes sentiments. Avec tous mes pères romantiques je ne demande qu'à descendre des forêts barbares et qu'à rallier la route royale, mais il faut que les classiques à qui nous faisons soumission nous accordent les honneurs de la guerre, et qu'en nous enrôlant sous leur discipline parfaite ils nous laissent nos riches bagages et nos bannières assez glorieuses.
Page 245 - Ici commence le court bonheur de ma vie; ici viennent les paisibles, mais rapides moments qui m'ont donné le droit de dire que j'ai vécu. Moments précieux et si regrettés! ah! recommencez pour moi votre aimable cours, coulez plus lentement dans mon souvenir, s'il est possible, que vous ne fîtes réellement dans votre fugitive succession.
Page 52 - La Nature est un temple où de vivants piliers Laissent parfois sortir de confuses paroles; L'homme y passe à travers des forêts de symboles Qui l'observent avec des regards familiers. Comme de longs échos qui de loin se confondent Dans une ténébreuse et profonde unité, Vaste comme la nuit et comme la clarté, Les parfums, les couleurs et les sons se répondent.
Page 245 - La noblesse de la province, qui s'y rassemble, n'a que ce qu'il faut de bien pour vivre; elle n'en a pas assez pour parvenir : et ne pouvant se livrer à l'ambition, elle suit par nécessité le conseil de Cynéas.
Page 53 - Mirbeau en 1910 — et, en même temps qu'une joie, un profit. Pour moi, j'y ai beaucoup appris, même dans les choses de mon métier. Ils m'ont ouvert un monde spirituel qui, jusqu'à eux, m'était en quelque sorte fermé, ou obscur. Et ils ont ajouté au goût que j'ai de vivre, au goût que j'ai de me plaire à la vie.
Page 193 - L'auteur peut en faire prendre copie à ses frais. L'auteur des plans ou de la maquette couronnée pour le sujet d'architecture est tenu de donner une reproduction photographique de son œuvre, pour être conservée dans les archives de l'Académie. Les auteurs...
Page 314 - Pour être sur de ne pas laisser échapper un journal qui l'aurait nommé, il était abonné à l'Argus de la Presse « qui lit, découpe et traduit tous les journaux du monde, et en fournit les extraits sur n'importe quel sujet ». HECTOR MALOT (ZYTE, p.
Page 53 - Frêle machine aux reins puissants, Fais-moi bondir, moi qui me sens Plus agile que les panthères, Si haut que je ne puisse voir, Avec leur cruel habit noir Ces épiciers et ces notaires...