L'opposition libérale sous l'empire (1861-1863) |
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24 novembre adressé ALFRED DARIMON amendement article avons Baroche Billault brochure budget bureau candidats candidature cause Chambre Chaudey chemins de fer choses circonscription cléricaux collègues comité secret commissaire du gouvernement commission Conseil d'État Constitution de 1852 Corps législatif Courrier du Dimanche crédits d'Ollivier débat déclaré décret du 24 demandé démocratique députés Devinck discours discussion de l'adresse Drouyn de Lhuys écrié électeurs élections électorale Émile de Girardin Émile Ollivier Ferry finances Fould Frédéric Morin Girardin Guéroult Havin hommes impérial J'ai Jérôme David journaux Jules Favre Keller l'amendement des Cinq l'Empereur l'Opinion nationale l'opposition laissé Léon Walras lettre libéral liberté Magne majorité ment Mexique ministre Moniteur Morny Napoléon III Nefftzer officielles Ollivier orateurs parole Persigny Picard Plichon politique président Presse Prince Napoléon projet de loi Proudhon publique question romaine réclamer reçu réformes répondu reste Rome s'est scrutin séance Sénat sentiments serait session seul sion situation Solar système Thiers tion voix vote
Popular passages
Page 78 - Nul ne sera admis à prouver la vérité des faits diffamatoires, si ce n'est dans le cas d'imputation contre des dépositaires ou agents de l'autorité, ou contre toutes personnes ayant agi dans un caractère public, de faits relatifs à leurs fonctions.
Page 20 - Cinq au premier paragraphe était ainsi conçu : « Pour que le droit de contrôle, restitué aux représentants du pays dans les limites restreintes du dernier décret, puisse porter ses fruits. il est nécessaire d'abroger la loi de sûreté générale et toutes les autres lois d'exception; » De dégager la presse du régime de l'arbitraire ; » De rendre la vie au pouvoir municipal et au suffrage universel sa force, par la sincérité des opérations et le respect de la loi.
Page 174 - Je dois donc déclarer franchement à Votre Majesté que tout en reconnaissant le nouveau royaume d'Italie, je laisserai mes troupes à Rome, tant qu'Elle ne sera pas réconciliée avec le Pape et que le SaintPère sera menacé de voir les États qui lui restent envahis par une force régulière ou irrégulière.
Page 21 - Lyon assistent avec inquiétude, aux entreprises immodérées d'administrations municipales dépourvues de frein et de contrôle. « Jamais elles n'ont plus vivement regretté l'absence de conseils municipaux élus, et l'oubli de ce principe élémentaire de notre droit public, qui assure au contribuable le droit de nommer ceux qui votent l'impôt et qui eu disposent.
Page 68 - C'est un motif de plus pour moi pour insister auprès de Votre Majesté, afin d'arrêter les poursuites. Étouffer n'est pas répondre. Je vous supplie, Sire, de laisser circuler librement la réponse de M. le Duc d'Aumale, certain que le patriotisme de la France jugera ce pamphlet comme il mérite de l'être, et que le bon sens du peuple fera justice de cette soi-disant leçon d'histoire qui n'est qu'un manifeste orléaniste.
Page 11 - Ce qui nuit à mon Gouvernement, c'est l'absence de publicité •et de contrôle ; c'est là ce qui favorise la calomnie et engendre les préventions. Je ne veux que le bien , je n'ai dans le cœur que des intentions honnêtes, mais je puis me tromper; c'est pourquoi je veux connaître l'opinion du pays par l'organe de ses députés, après qu'ils auront examiné mes actes.
Page 263 - Dites à vos concitoyens que je serai prêt sans cesse à accepter tout ce qui est l'intérêt du plus grand nombre; mais, s'ils ont à cœur de faciliter l'œuvre commencée, d'éviter les conflits qui n'engendrent que le malaise, de fortifier la Constitution qui est leur ouvrage, qu'ils envoient à la nouvelle Chambre des hommes qui, comme vous, acceptent sans arrière-pensée le régime actuel, qui préfèrent aux luttes stériles les délibérations sérieuses, des hommes qui, animés de l'esprit...
Page 158 - Le Corps législatif, qui m'a toujours donné un concours si loyal, qui m'a aidé à fonder l'Empire et les institutions qui doivent nous survivre, verra avec plaisir, j'aime à le penser, que je m'empresse d'adopter le moyen de rétablir la confiance mutuelle et d'effacer les traces d'un désaccord toujours regrettable entre les pouvoirs issus de la même origine et travaillant consciencieusement pour le même but.
Page 273 - ... avec une infatigable ardeur, dispense le gouvernement d'être le seul promoteur des forces vitales d'une nation; aussi, au lieu de tout régler, laisse-t-il à chacun la responsabilité de ses actes. « Voilà à quelles conditions existe en Angleterre celte merveilleuse activité, cette indépendance absolue.
Page 153 - A chacun la liberté de ses appréciations. Quant à moi, je désire que le pays et l'armée sachent que, juge obligé des services politiques et militaires, j'ai voulu honorer par un don national une entreprise sans exemple; car les grandes actions sont le plus facilement produites là où elles sont le mieux appréciées, et les nations dégénérées marchandent seules la reconnaissance publique. Recevez, mon cher général, l'assurance de ma sincère amitié. NAPOLÉON. TABLE DES MATIÈRES Pages....