Le Combat ordinaire - Tome 2 - Les quantités négligeables

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Qui sont les quantités négligeables ? Certaines photos de Marco, tentatives dérisoires pour dire le monde... Certains hommes, cassés après des années de travail sur les chantiers... Certaines vies banales qui basculent dans des choix discutables... Manu Larcenet ne juge jamais et soulève des interrogations sur la condition humaine avec une intense pudeur. Comme à la lecture du premier tome, on referme le livre bouleversé, la larme à l'oeil avec cette sensation unique d'avoir rencontrer un être humain, un vrai... Prix du meilleur album Angoulême 2004. Le Combat ordinaire est également le deuxième lauréat du prix du public L'Express, Télé Poche, Canal BD et a été salué par une presse unanime : "Le meilleur roman du moment." Voici "Un livre poignant." Le journal du Dimanche "Un petit bijou d'intelligence." Ouest France "Le courage de vivre et de choisir." Le Monde "Larcenet s'affirme." L'Express "Le style de Larcenet attire la sympathie." Lire "Une des valeurs sûres de la BD française." Elle "Une BD essentielle." La libre Belgique Et ce concert de louange n'est que justice. D'autant que ce deuxième tome est peut-être encore meilleur et plus touchant que le premier. Parfois très triste, souvent bouleversant. Les Quantités négligeables parlent des rapports de l'artiste avec son oeuvre, de la montée de l'extrémisme, du rapport aux autres avec énormément de sensibilité et une intelligence rare. Marco poursuit sa route, monte une expo de ses photos dans une galerie chic à Paris, retourne sur les chantiers navals où travaillait son père pour photographier les ouvriers du chantier et ses anciens amis, s'installe avec la jolie vétérinaire et la magie opère toujours, le livre vous saisit et ne vous quitte pas. Rares sont les lectures dont on ressort meilleur...
 

Contents

Section 1
4
Section 2
7
Section 3
34
Section 4
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Common terms and phrases

About the author (2004)

Né le 6 mai 1969 à Issy-les-Moulineaux, dans les Hauts-de-Seine, Manu Larcenet ne cache pas l'influence des lectures d'enfance sur ses études : cours de graphisme au lycée de Sèvres, puis école des Arts Appliqués. Il avoue sa motivation profonde : "J'ai fait beaucoup de musique punk rock pour épater les filles, mais comme les filles ne s'évanouissaient pas, j'ai fait du dessin (bien qu'elles ne s'évanouissent toujours pas). Après, j'ai commencé à vieillir. C'est là que les ennuis ont commencé : illustrations pour WIND MAGAZINE, participation à des fanzines rock et politiques jusqu'à mon arrivée à FLUIDE GLACIAL où on est quand même bien parce que j'ai pu y faire quatre albums. Sinon, je m'amuse de temps à autre dans les pages de SPIROU, seul ou avec des copains. Avec mon frère, j'ai aussi fait deux albums de cartoons, chez Glénat, et deux jeux de rôles chez Les Rêveurs de Runes, qui viennent de publier mon deuxième album autobiographique après "Dallas Cow-boy" (Presque... pas cher, joli, en vente partout)." La collection "Humour libre" lui ouvre une série d'anthologies de cartoons complètement délirants sous le titre général "La Vie est courte". Avec sa muse Jean-Michel Thiriet, il y impose une vision déjantée et corrosive de notre univers quotidien. En parallèle, le journal de SPIROU publie les avatars de "Pedro le Coati" qu'il anime avec Michel Gaudelette, son complice de FLUIDE GLACIAL. Pedro est désormais édité en albums (pas chers, jolis, en vente partout aussi).

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