Magasin encyclopédique: ou Journal des sciences, des lettres et des arts, Volume 1

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1813
 

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Popular passages

Page 245 - Il a trouvé ainsi, qu'une livre de chaque substance faisait passer, de la température de la glace fondante à celle de l'eau bouillante , savoir : La cire blanche.
Page 456 - N'ont pu créer mon ame, essence de lumière. Je pense : ma pensée atteste plus un Dieu Que tout le firmament et ses globes de feu.
Page 437 - J'échappe à ce globe de fange : Quel triomphe plus solennel ! C'est la mort même qui me venge : Je commence un jour éternel. Comme un cèdre aux vastes ombrages , Mon nom , croissant avec les âges, Règne sur la postérité. Siècles ! vous êtes ma conquête ; Et la palme qui ceint ma tête Rayonne d'immortalité.
Page 298 - Sous leurs différents titres ils réunissent d'une part, autant qu'il leur a été possible, tout ce qui a été authentiquement et exactement recueilli sur les effets de la vaccine, en Europe et dans les contrées où les Européens ont pu faire adopter la vaccination. Ils rapprochent ainsi un grand nombre de faits observés...
Page 242 - Thénard, et en calculant la chaleur qui auroit élé produite par l'hydrogène et le carbone qui entrent dans leur composition , si on les eût brûlés séparément, on arrive à très-peu près aux mêmes résultats. Nous ne pourrions faire sentir tout le mérite de ces recherches , qu'en rapportant les nombreux calculs de l'auteur; et c'est ce que la nature de notre travail ne comporte pas. Muni décès connoissances préalable», M.
Page 267 - Selon ce botaniste, ce suintement d'une humeur glaireuse , que quelques physiologistes supposent émaner de l'aubier ancien , et qui contribueroit à la formation du liber, n'est pas fondé sur des expériences probantes. Au contraire, quand on a enlevé une portion d'écorce à un arbre, et qu'on a bien frotté la plaie ^de manière à n'y laisser ni liber ni cambium, ni l'aubier ni le bois ne reproduisent rien; mais les bords de la solution de continuité faite à l'écorce s'étendent, recouvrent...
Page 446 - Et ces larmes d'amour, souveraines de l'âme ! Va , le sceptre des rois est moins impérieux Qu'une larme timide échappée à tes yeux. Ose aimer sans rougir ; ose avouer ta perte ; Lève ces noirs atours dont ma tombe est couverte ; Gémis sur ton amant! tes soupirs, tes douleurs, Tes regrets , tes sanglots vont passer dans les cœurs. Ose me disputer à la Parque farouche : Mets ton cœur sur mon cœur, ta bouche sur ma bouche; Couvre de tes baisers et mes yeux et mon sein... Tu sentiras mon cœur...
Page 438 - Non, non; je ne dois point descendre Au noir empire de la Mort : Amis ! épargnez à ma cendre Des pleurs indignes de mon sort. Laissez un deuil pusillanime : Croyez-en le dieu qui m'anime ; Je ne mourrai point tout entier.
Page 245 - ... moins de dessèchement , peuvent faire passer respectivement de la température de la glace fondante à celle de l'eau bouillante, table où l'on voit que le tilleul est le bois qui donne le plus de chaleur, et le chêne celui qui en donne le moins. Il résulte encore de ses analyses que la...
Page 295 - Ce travail, sur un point important de la mécanique des animaux , n'est pas sans intérêt pour leur classification , attendu que ce plus ou moins de facilité dans la rotation de l'avant-bras influant nécessairement sur le plus ou moins d'adresse des animaux , doit entrer pour beaucoup dans leur degré de perfection générale, et par conséquent dans leurs affinités naturelles. Le même anatomiste a encore présenté un mémoire sur les formes du sternum dans les oiseaux.

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