Oeuvres, Volume 7 |
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ADRASTE affreux aime ALCIONE allarmes Amans Amant AMESTRIS amour AMURAT APOLLON ARBAS ardeur ASTRATE BARQUAROLLE BARSINE Bergers bonheur C'eft C'eſt CADMUS CEIX CELIMENE CEPHISE chaîne Chantons chants charmans charmes cher CHOE U CHOEUR CHRISELE Ciel Cieux CLARIMOND cœur couroux crains cruel danfe defirs déja Dieu Dieux DIRCE DORINE DORIS doux eſt fans ceffe fecours féjour fens fervir feul feux flâme foupirs fous fuis funefte fureur gloire grace Hélas HESPERIDE heureuſe heureux HILAS hymen IDAS Iffé Ingrate ISABELLE ISMENIDE ISMENIE ISSE J'ai jeux jour JUNON JUPITER l'Amour l'Hymen laiffe LEONORE lieux loix maux MELPOMENE MENOPHIS MOMUS n'eft OCTAVE PELE'E perfide PHORBAS plaifir plaifirs plaiſirs PLUTON preffe préſence PRESTRE Princeffe PROLOGUE puiffance puis-je régne ROXANE SCANDERBERG SCENE I I SCENE PREMIERE SEMELE SERVILIE ſes SPINETTE Sultan tendre tendreffe Théatre repréfente TIRCIS tremble trépas triomphe trouble Troupe vainqueur victoire vœux vois-je yeux ZERBIN
Popular passages
Page 209 - D'une vaine fierté , je ne fuis plus maîtreiïe : Je viens vous confier mes déplaifirs fecrets : Mais , jufq_u'à ce moment , fongez. que ma tendrefle N'a parlé que par mes bienfaits. Vos jours étoient profcrits , & j'ai su les défendre. De mon amant , pour vous , j'ai fléchi la rigueur ; Et mes foupirs & ma langueur , Si vous aviez voulu m'entendre , Vous ont trop dit le prix qu'en demandoit mon cœur. SCANDERBERG.
Page 218 - J'ai permis qu'un Héros à qui le fàng vous lie , Affranchi de nos loix , y parût à vos yeux. [à Scanderberg. ] J'élève la PrincefTe à la grandeur fuprême , Tu dois partager fon bonheur: Tu dois être flatté d'apprendre d'elle-même , Et fon triomphe , & mon ardeur, ScANDERBERG. Quel cœur à tant d'appas ne rendroit pas les armes ! AMURAT. JWa flâme a pris naiflance au milieu des allarmes , Dans le fein de la paix elle croît chaque jour , Jamais âmes regards n'ont brillé tant de charmes,"...
Page 206 - J'entens la Gloire qui m'appelle: Ah ! Qu'elle a de brillans appas ! La Viftoire vole autour d'elle ; Je vois la Renommée attachée à fês pas : Pour mériter leur faveur immortelle , J'irai braver mille trépas. J'entens la Gloire qui m'appelle : Ah ! Qu'elle a de brillans appas ! OSMAN. Vous pouviez borner votre gloire A voir ici l'Amour combler tous vos defîrs ; Mais votre cœur dédaigne une douce viûoire Qui ne coûte que des foupirs. SCANDERBERG. Ah ! Connois , cher Ofman , le Prince d'Albanie.
Page 193 - É. 11 n'est plus temps, vous me voyez mourante; Je descends pour jamais sur les bords ténébreux. Je vois les Parques inflexibles Qui tranchent le fil de mes jours. Qu'à mes yeux , cher amant , les enfers sont terribles ! Ils nous séparent pour toujours.
Page 220 - Puifle l'Amour combler aufli tes vœux! De tous les cœurs il exige l'hommage. Tout heureux que je fuis en obtenant fa foi , Je le deviendrai davantage Si tu peux l'être autant que moi.
Page 239 - Us fuyoiem cette nuit. AM u RA T. Le Vizir , Servilie. . . . Quoi ! Tous deux interdits ! . Et leurs regards timides. . . . Vous vous aimez , perfides. Votre fecret échappe , & je vous l'ai furpris.
Page 126 - L'amour n'aura pour nous que de charmans appas, Nous brifcrons nos fers quand nous «n ferons las. DORIS. Hé bien , à votre amour je ne fuis plus rebelle , Et je confens enfin à m'engager. Voyons dans notre ardeur nouvelle , Si vous m'apprendrez à changer * Ou G je vous rendrai fidèle.
Page 287 - Le plus aimable des mortels. Envain nous avons fui fa rage ; II s'eft enfin vengé d'un malheureux amour : Mais parmi tant de maux ma fureur me foulage ! Je vais me venger à mon tour. Oui , chère ombre ,. crois -en le tranfport qui m'anime ; Crois-en ces tendres feux qui te furent fi chers ; Je vais te conduire aux enfers , Et ton amante & ta vi&ime. SCENE II. BARSINE,MISIS. Mi si s.
Page 215 - Chants importuns d'allégreiïe & de gloire, Que vous me préfagez. d'horreur! Qu'étes-vous devenu, cher objet que j'adore? Votre père gémit fous les loix du vainqueur; Et pour comble de maux , j'ignore Si vous vivez, fi vous m'aimez encore. Hélas ! Je veux en vain douter de mon malheur
Page 139 - C'eft moi qui vous aime Le plus tendrement. Si vous m'aimiez de même , Mon fort feroit charmant* C'eft moi qui vous aime Le plus tendrement.