Oeuvres complètes, Volume 14Calmann Lévy, 1887 |
Common terms and phrases
agréable aimable aimait allemands amant âme ARISTEA arts beau beauté belle bonheur brillante célèbre chant chapelle charmantes cher chestre chose Cimarosa clavecin Clémence de Titus cœur composer compositeur comte concert Corrége Création d'Haydn donner entendre eût exécuter Farinelli femme Figaro flûte Flûte enchantée fugue gaieté génie genre Hændel Haydn heureux homme idées Idem instruments Italie italienne j'ai jamais jeune Mozart Jomelli Joseph Haydn jouer jour l'air l'âme l'opéra l'orchestre LETTRE Licidas Londres maître malheureux manière MEGACLE MÉGACLÈS mélodie ment messe Métastase Milan Miserere monde morceaux Mozart musicale musiciens musique instrumentale Naples opéra oratorio ouvrages Paisiello parler paroles passion Paul Véronèse pauvre peindre peine peinture père Pergolèse peut-être piano plaisir poëte Porpora premier prince quatuors raison Raphaël rien Rome Sacchini Salzbourg scène semble sensible sentir sera seul sique Sonates sort souvent spectateur Stradella style sur-le-champ symphonies talent tendre théâtre trouve Vienne violon voix Wolfgang
Popular passages
Page 298 - Sento da' lacci suoi Sento che l'alma è sciolta; Non sogno questa volta, Non sogno libertà. Mancò l'antico ardore E son tranquillo a segno Che in me non trova sdegno Per mascherarsi Amor. Non cangio più colore, Quando il tuo nome ascolto, Quando ti miro in volto Più non mi batte il cor. Sogno, ma te non miro Sempre ne' sogni miei: Mi desto, e tu non sei II primo mio pensier.
Page 246 - J'en demande pardon à Votre Majesté, lui répondit Mozart très sèchement ; il ya précisément autant de notes qu'il en faut. » Joseph ne dit rien, et parut un peu embarrassé de la réponse ; mais lorsque l'opéra fut joué, il en fit les plus grands éloges. Mozart fut ensuite moins content luimême de son ouvrage ; il y fit beaucoup de corrections et de retranchements : et depuis, en exécutant sur le piano un des airs qui avaient été le plus applaudis : « Cela est bon dans la chambre,...
Page 276 - II met bas son fagot, il songe à son malheur. Quel plaisir at-il eu depuis qu'il est au monde ? En est-il un plus pauvre en la machine ronde ? Point de pain quelquefois, et jamais de repos.
Page 300 - Quel che or m'alletta o spiace, Se lieto o mesto or sono, Già non è più tuo dono, Già colpa tua non è: Che senza te mi piace La selva, il colle, il prato; Ogni soggiorno ingrato M'annoia ancor con te.
Page 236 - Remarquons donc ici que la sensibilité se comporte à la manière d'un fluide dont la quantité totale est déterminée, et qui, toutes les fois qu'il se jette en plus grande abondance dans un de ses canaux, diminue proportionnellement dans les autres.
Page 258 - Je veux enfin qu'au jour marqué pour le repos, L'hôte laborieux des modestes hameaux Sur sa table moins humble ait, par ma bienfaisance, Quelques-uns de ces mets réservés à l'aisance.
Page 259 - L'inconnu les compte sur la table et disparaît. Mozart reste plongé quelques moments dans de profondes réflexions ; puis tout à coup demande une plume, de l'encre, du papier, et, malgré les remontrances de sa femme, il se met à écrire. Cette fougue de travail continua plusieurs jours : il composait jour et nuit, et avec une ardeur qui semblait...
Page 38 - LES ravages du temps vinrent déranger la petite fortune de Haydn. Sa voix changea, et il sortit à dixneuf ans de la classe des soprani de SaintEtienne, ou pour mieux dire, et ne pas tomber sitôt dans le style du panégyrique, il en fut chassé. Un peu impertinent, comme tous les jeunes gens vifs, un jour il s'avisa de couper la queue de la robe d'un de ses camarades, crime qui fut jugé impardonnable. Il avait chanté onze ans à Saint-Etienne : le jour qu'il en fut chassé, il ne se trouva, pour...
Page 45 - Haydn, troublé par la majesté qui environnait le prince, ne répond pas; celui-ci ajoute : « Va, et habille-toi en maître de chapelle, je ne veux plus te voir ainsi, tu es trop petit, tu as une figure mesquine : prends un habit neuf, une perruque à boucles, le collet et les talons rouges ; mais je veux qu'ils soient hauts, afin que ta stature réponde à ton savoir; tu entends, va, et tout te sera donné.
Page 294 - ... des intérêts de ceux qui parlent et agissent dans le drame. L'air et le chant commencent avec la passion ; dès qu'elle se montre, le musicien doit s'en emparer avec toutes les ressources de son art. Arbace explique à Mandane les motifs qui l'obligent de quitter la capitale avant le retour de l'aurore, de s'éloigner de ce qu'il a de plus cher au monde : cette tendre princesse combat les raisons de son amant ; mais lorsqu'elle en a reconnu...