Racine...C. Lévy, 1891 |
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acte admirable Agrippine aime Alexandre âme amour Andromaque Atalide Bajazet Bérénice Boileau Britannicus Burrhus c'était CAMARGO caractère Champmeslé charmante choses Cinna cœur comédie Corneille costume critique d'Andromaque d'Hector d'Hermione dire dix-septième siècle dramatique drame Dumas esprit eût Fayette femme fille fils d'Achille frère gens Grecs Hermione héros historique homme j'ai jeune jouer juge Junie L'ABBÉ l'amour l'autre l'Empereur l'esprit l'un laisser légende littéraire Louis Racine Louis XIV lui-même madame de Sévigné mademoiselle mademoiselle Du Parc Marie Mancini ment mère mise en scène Mithridate mœurs Molière Monime mort Narcisse Néron noble œuvres Oreste passe passion peindre père personnages Pharnace pièce de Racine Plaideurs plaisir pleurer poète poison Porus première prince princesse public Pyrrhus Reine reste rien rival rôle roman Roxane Saint-Évremond Segrais Seigneur semble Sénèque sentiments serait seulement Shakspeare sorte spectateurs Stendhal style sujet théâtre Tite Titus tragédie tragi-comédie tragique trouve Vallière vérité veut Voilà Voltaire Xipharès XVIIe siècle yeux
Popular passages
Page 268 - Les personnages tragiques doivent être regardés d'un autre œil que nous ne regardons d'ordinaire les personnages que nous avons vus de si près. On peut dire que le respect que l'on a pour les héros augmente à mesure qu'ils s'éloignent de nous : major e longinquo reverentia.
Page 95 - Bientôt l'amour, fertile en tendres sentiments, S'empara du théâtre ainsi que des romans. De cette passion la sensible peinture Est pour aller au cœur la route la plus sûre.
Page 176 - Je l'ai laissé passer dans son appartement. J'ai passé dans le mien. C'est là que, solitaire, De son image en vain j'ai voulu me distraire. Trop présente à mes yeux je croyais lui parler. J'aimais jusqu'à ses pleurs que je faisais couler.
Page 209 - Au Cid persécuté Cinna doit sa naissance ; Et peut-être ta plume aux censeurs de Pyrrhus * Doit les plus nobles traits dont tu peignis Burrhus.
Page 323 - ... couvert de cristallisations brillantes: les plus petites branches, celles qui ne sont pas plus grosses que la patte d'une mésange, sont garnies d'une infinité de diamants, mobiles et éblouissants; on ne peut plus reconnaître le rameau primitif. Ce que j'appelle cristallisation, c'est l'opération de l'esprit, qui tire de tout ce qui se présente la découverte que l'objet aimé a de nouvelles perfections.
Page 240 - N'at-il que des États qu'il me puisse donner ? Depuis quand croyez-vous que ma grandeur me touche ? Un soupir, un regard, un mot de votre bouche, Voilà l'ambition d'un cœur comme le mien : Voyez-moi plus souvent, et ne me donnez rien.
Page 112 - Avant que tous les Grecs vous parlent par ma voix, Souffrez que j'ose ici me flatter de leur choix , Et qu'à vos yeux, seigneur, je montre quelque joie De voir le fils d'Achille et le vainqueur de Troie. Oui, comme ses exploits nous admirons vos coups : Hector tomba sous lui, Troie expira...
Page 207 - Au lieu d'une action simple, \/chargée de peu de matière, telle que doit être une action qui se passe en un seul jour, et qui s'avançant par degrés vers sa fin, n'est soutenue que par les intérêts, les sentiments et les passions des personnages...
Page 236 - Titus, qui aimait passionnément Bérénice, « et qui même, à ce qu'on croyait, lui avait promis de l'épouser, « la renvoya de Rome, malgré lui et malgré elle, dès les premiers
Page 195 - Me délivre à jamais des fureurs d'Agrippine. Tant qu'il respirera, je ne vis qu'à demi. Elle m'a fatigué de ce nom ennemi ; Et je ne prétends pas que sa coupable audace Une seconde fois lui promette ma place.