Satyre Menippee de la vertu du catholicon d'Espagne: et de la tenve des estatz de Paris, Volume 2Édouard Tricotel Lemerre, 1881 - France |
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affaires ainfi apres auec auffi aultres auoient auoir auoit ayant beau belle c'eftoit c'eſt caufe cefte ceſte charge chauffes chofe cœur confeil coup Cour d'vn d'vne Dame deffeins deuant Diables Dieu dire donner efté eftoient eftoit eftre eſt eſté eſtre euft faict fans fault fera feroit feruice feulement foit font force fort forte Fortune François fuft fuis garde gens guerre heur homme i'ay iamais iour iufques l'autre l'ay l'vn laiffe lefquels lieu Ligue Ligueurs Lune Maiefté Maieſté main maiſtre mefme mettre mieux monde Monfieur monftrer mort moyen n'eft n'en noftre paffé parler pauure pays penfer Pere petit peuple plein plufieurs porte pouuoir premier premiere Prince pris propre qu'à qu'en qu'vn quoy rien Roger Rois royaume s'en s'il tels terre tirer toufiours toutesfois trouue voftre voſtre voyant vray
Popular passages
Page 135 - Ils sont par luy rêverez en la terre, Ils ont de Dieu le portrait sur le front; Dieu les inspire, et tout cela qu'ils font Vient du grand Dieu qui darde le tonnerre.
Page 104 - Paon, vne fourche-fiere fur fon efpaule gauche, le bec tirant contre bas en forme de Sergent de bande, vn cornet de verre pendu à fa ceinture, qui difoit eftre de l'ordre S.
Page 116 - Sentans la hart de cent pas à la ronde, Au demeurant les meilleurs fils du monde. Or comme dit Pierre de Ronfard, l'honneur des Poetes de...
Page 189 - Quatre-vint-douze , ie proposai en Parlement qu'il falloit faire la paix, et sur ma proposition, remonstrances en fu(1) Premier huissier au Parlement, et depuis, conseiller au grand conseil.
Page 117 - ... protecteurs, mais Dieu le fçait. Ils mirent, pour revenir à ma première propofition, leurs bourrelles mains fur ceux qui par leurs authentiques authoritez, pour un simple holà...
Page 189 - Maubert, où l'on fit déclaration qu'on entendoit seruir à la conseruation de la religion, mais non pas faire la guerre au roy, dont M. de Guise se trouua fort estonné.
Page 30 - ... garde qui pourra. Qui en peut avoir entre les diables, soit à tort, soit à travers, cela luy est réputé de bonne prise. J'oubliois à vous dire qu'ils ont presque tous des queues de renard attachées à leurs ceintures, avec des miroirs, desquels ils voyent ce qui se fait au monde, et esblouissent les yeux de ceux qui les regardent. Il me falloit commencer par la teste à vous descrire : mais d'autant qu'ils ne l'ont entre les deux espaules, ainsy que l'imagineriez, je le garde sur la fin....
Page 12 - Dieu mesme ne scauroit complaire , les uns demandans de la pluye pour planter des choux , les autres le beau temps pour aller à la chasse. La pluspart une paix tranquille, et d'autres la guerre , car autrement ils ne sçauroyent faire leurs besongnes. Les exploits de guerre faicts par feu Jean de Lagny, sur aucunes bourgades de la France, y sont despeints, tant pour soulager celuy qui en sa faveur dressera son histoire , que pour...
Page 72 - ... fans donner aucune efmotion au patient. Voire leur fallut-il couper les couilles au plus braue Lorrain de Nancy. Ce fera tout en riant. le croy bien que les femmes du pays s'en fafcheroient. Mais bafte. Il n'y en a que trop à leur commandement. Au defaut de ceuxcy on leur donneroit ces amoureux de Bretaigne, afin d'engendrer de nouueaux conquereurs.
Page 35 - Ce qui nous donna quelque frayeur du commencement, principalement à Roger, qui, à cause de son nez de grue, en voyoit des plus effroyables : car à dire vray, ils n'apparoissoyent à tous de mesme façon. L'un cuidoit veoir un bouc , que l'autre voyoit la forme d'un grave docteur. L'un disoit, voylà un pourceau, et l'autre voylà un cafard. L'un, j'apperçoy un asne, et moy, disoit...