Ta kata ton diethnē errēnikon eirgmon tou 1850 (4 Ian. - 16 Apr.)1907 - 240 pages |
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Αγγλ αἱ αἵτινες ἀλλ ἀλλὰ ἀμέσως ἂν ἀπαιτήσεις ἀπαιτήσεων ἀπὸ Απρ ἄρθ αὕτη αὐτὴν αὐτῆς αὐτοῦ αὐτῶν ἀφ Βρετ Γαλ Γαλλίας δὲ δὲν διὰ τὴν διὰ τῆς διακοινώσεως διακοίνωσιν εἶναι εἰς τὰς εἰς τὴν εἰς τὸ ἐκ τῆς ἐκ τῶν Ελαφόνησος Ελαφονήσου ἐν Αθήναις ἐν τῇ ἐν τούτοις ἐν τῷ ἐξ ἐπὶ τοῦ ἐπὶ τῶν Ἐξωτερικῶν ἔχει ἡ Ἑλλ ἤδη ἣν ἧς ἥτις ἦτο θὰ Ιαν καθ καὶ ἡ καὶ τὰ καὶ τὴν καὶ τῆς κατὰ τὴν κατὰ τῆς Κυβέρνησις τῆς Κύθηρα μὲ μετὰ μέτρα μὴ νὰ νησιδίων ὁ λόγος οἱ ὅπως ὅσον ὅτι ἡ ὅτι ὁ οὗ Οὐάις οὕτως Πάλμερστον παρὰ παρὰ τῆς περὶ πλοῖα πρὸ πρὸς τὸν Ρωσίας τὰ ὁποῖα τὰς ὁποίας ταῦτα ταύτης τὴν Ἑλλ τὴν ὁποίαν τῆς Αγγλίας τῆς Γαλλίας τῆς Ἑλλ τῆς Ἑλλάδος τῆς Κυβερνήσεως τῆς τὸ ζήτημα τὸ ὁποῖον τοὺς τοῦτο τῶν δύο ὑπ ὑπὸ ὑποφαινόμενος Φεβρ ὧν ὡς ἐκ ὡς πρὸς ὡσαύτως
Popular passages
Page 31 - Les navires de commerce contraints par un accident de force majeure de se réfugier dans un port ennemi, ne peuvent y être capturés. Ils sont tenus, pendant leur séjour, de se conformer exactement aux prescriptions de l'autorité locale et de reprendre la mer dans le délai qui leur aura été indiqué. Si c'est un navire de guerre qui a été ainsi contraint de chercher un refuge dans un port ennemi, il peut être généreux de l'accueillir en lui donnant les moyens de reprendre la mer; sinon,...
Page 31 - Les navires de commerce qui, au début des hostilités ou lors de la déclaration de guerre, se trouvent dans un port ennemi, ne sont pas sujets à saisie, dans le délai déterminé par les autorités. Pendant ce délai, ils peuvent y décharger leur cargaison et en prendre une autre.
Page 31 - L'embargo mis sur des navires étrang ancrés dans un port ne peut être justifié qu'à titre rétorsion ou de représailles. 11 ne peut être exercé que directement au nom de l'Etat et par ses préposés. On doit, autant que possible, faire connaître à ceux qui sont l'objet de cette mesure les motifs qui l'ont imposée et sa durée probable. L'embargo doit être levé dès que la satisfaction demandée a été accordée.
Page 22 - C'est le rapport des choses, et non des personnes, qui constitue la guerre : elle est une relation d'État à État, et non d'individu à individu. Entre deux ou plusieurs nations belligérantes, les, particuliers dont ces nations se composent ne sont ennemis que par accident. Ils ne le sont point comme hommes, ils ne le sont même pas comme citoyens ; ils le sont uniquement comme soldats.
Page 93 - Jamais dépêche touchant plus profondément à la paix de l'Europe, a la dignité de notre pays et aux relations extérieures de la Grande-Bretagne n'a été remise à un ministre anglais ; et jamais, nous sommes malheureusement forcés de l'ajouter, il n'en a été de plus irréfutable, de plus juste dans ses principes et de plus piquante dans ses reproches.
Page 17 - Or, comme cette intention était hostile (animo hoslilï) dès l'origine (ab initia), on est fondé en droit à en faire peser les conséquences sur les personnes coupables d'offenses qu'elles ont refusé de réparer par un changement amiable dans leur manière d'agir. Telle est la marche nécessaire quand il ne survient pas d'accord spécial pour la restitution des propriétés saisies avant toute déclaration formelle de guerre*.
Page 144 - les états étrangers l'entière protection des lois de ces états, « regrette de trouver dans les documents qui lui ont été sou«mis, que différentes réclamations contre le gouvernement «grec, douteuses sous le rapport de la justice et exagérées « quant à leur montant, ont été appuyées par des mesures «coërcitives contre le commerce et le peuple de la Grèce, «susceptibles de compromettre les relations amicales de la «Grande-Bretagne avec les autres puissances...
Page 29 - Afin de promouvoir d'autant mieux le commerce des deux nations , il est convenu que , dans le cas où la guerre surviendrait entre les hautes parties contractantes (ce qu'à Dieu ne plaise!) il sera accordé de part et d'autre...
Page 81 - the cargoes of Greek vessels being chiefly the property of foreign merchants . . . few vessels are to be met with whose cargoes and...
Page 101 - ¿TTÎ her British Majesty's Government of the French Republic, be justly and amiably settled, but vice-admiral Sir William Parker and I not having received any instructions from our Government to suspend the coercive measures now in force, howewer agréable it might be to our feelings, -we regret that it is not in our power to do so. Whenever we shall receive such instructions, it will give us great pleasure to communicate with you on the subject. I beg you to accept the assurance, etc. Wyse. Oí...