Étude sur l'iconographie bouddhique de l'Inde: d'après des documents nouveaux, Volume 1

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Popular passages

Page 146 - dans le pays, encore inconnu pour nous, de « Pallikera ». Son air bienveillant contraste avec l'appareil menaçant de ses attributs (v. pi. VIII, 4). Foudre, disque, massue, épée, arc, flèche, hache, trident, etc., rien ne manque à son arsenal de guerre ; mais en même temps, pour le fidèle qui sait voir. sa première paire de mains est dans la pose de l'enseignement, une autre dans celle...
Page 67 - G. DE Blonay : Matériaux pour servir à l'histoire de la déesse buddhique Tara, Paris, 1895, pp.
Page 35 - ... contente des cinq couleurs consacrées, blanc, bleu, rouge, jaune et vert : tout au plus peut-on distinguer deux nuances de rouge, dont l'une plus carminée. Ça et là on reconnaît des essais de modelé ; des couches plus foncées marquent les ombres, ou encore l'enlumineur se sert de quelques...
Page 57 - ... historiquement leur réalité. Si nos notions sur l'architecture bouddhique ne se trouvent pas ainsi beaucoup accrues, il n'en est pas de même, comme on va le voir, de nos connaissances archéologiques. Nous sommes en étal d'ajouter plus d'un nom à la liste, telle qu'on la pouvait dresser jusqu'ici, des « huit grands cailyas » et des autres sanctuaires dont les pèlerins chinois nous attestent la renommée ou dont on a, au cours de ce siècle, retrouvé les débris.
Page 34 - On trace des lignes à l'encre de Chine, et Ion couvre les différentes parties de la peinture de couleurs d'une teinte uniforme ; quelques ornements seulement sont ombrés...
Page 71 - C'est un simple jupon ouvert : on en fait un pagne assez ample en ramenant entre les jambes le pan de derrière que l'on passe ensuite dans la ceinture et dont on laisse les plis retomber par devant.
Page 35 - D'autre part certaines conventions sont universellement admises : la plupart des fonds sont étoiles par ces pluies de fleurs dont parlent si souvent les textes bouddhiques : deux arbres signifient une forêt ; des hachures en croix, de couleurs bigarrées et de formes biscornues symbolisent une montagne, etc. 2. Enfin toutes ces peintures reproduisent à satiété les mêmes monuments ou répètent les mêmes types dans un nombre limité de gestes et d'altitudes. Bref, le caractère le plus frappant...
Page 68 - L'une des plus connues est celle qui réunit les deux mains devant la poitrine, l'un des doigts de la gauche tenu entre le pouce et l'index de la droite : c'est le geste de l'enseignement, celui qui « fait tourner la roue de la loi...
Page 69 - Mais la nuulra la plus fréquente après celle de l'enseignement est, dans nos miniatures, celle de la charité, où la main droite pendante, la paume en dehors, au bout du bras allongé, semble épandre les faveurs divines (cara-mudnï) '. Notons encore le geste de la méditation (dhyàim-inudrd}, les deux mains ouvertes reposant l'une sur l'autre dans le giron du personnage assis à l'indienne''.

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