Études de littérature allemande, Volume 1Plon-Nourrit & cie, 1900 - German literature |
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Adélaïde Adelbert aime allemand amis Attinghausen Bamberg beauté belle bohémiens bourgeois Braun brave Camp de Wallenstein caractère cavaliers chant châtelaine chevalier chose Chronique cinquième acte cœur compagnons Croate d'Adélaïde disait drame Élisabeth femme Francfort Franz Gætz gens Georges Goethe Goethe n'a Goetz de Berlichingen Gotz guerre Heilbronn Herder Hermann et Dorothée héros Homère homme Hornberg Humboldt idylle imitation Impériaux instant Jaxthausen jette jeune fille Klopstock l'Allemagne l'armée d'exécution l'aubergiste l'empereur l'Empire l'esquisse l'évêque de Bamberg langue Lerse Lessing liberté Liebetraut ligue de Souabe lingen Lion-d'Or lorsqu'il Louise main de fer maréchal des logis Marie Maximilien Mayence ment Metzler monde Möser noble œuvre parle paroles passion pasteur paysans pensée personnages petit Charles pharmacien pièce poème poésie poète premier chasseur princes qu'un raconte rappelle représente reste s'écrie sais sait scène Schiller Selbitz sent seul Shakspeare Sickingen soldats style tion Ulrich de Wurtemberg voilà Voss Walldorf Weimar Weislingen Wetzlar Wieland yeux
Popular passages
Page 104 - De la littérature allemande; des défauts qu'on peut lui reprocher; quelles en sont les causes; et par quels moyens on peut les corriger.
Page 105 - Mais voilà encore un Goetz de Berlichingen qui paraît sur la scène, imitation détestable de ces mauvaises pièces anglaises, et le parterre applaudit et demande avec enthousiasme la répétition de ces dégoûtantes platitudes.
Page 216 - Tous les peuples ne tournaient-ils pas leurs regards, en ces jours d'effervescence, vers la capitale du monde qui l'avait été si longtemps et qui méritait alors plus que jamais ce titre glorieux?
Page 205 - On a beaucoup de peine à s'accoutumer, en sortant de France, à la lenteur et à l'inertie du peuple allemand ; il ne se presse jamais , il trouve des obstacles à tout; vous entendez dire en Allemagne c'est impossible, cent fois contre une en France. Quand il est question d'agir, les Allemands ne savent pas lutter avec les difficultés; et leur respect pour la puissance vient...
Page 192 - Si je me sens agité, disait Werther, tout ce tumulte s'apaise à la vue d'une créature comme celle-là qui parcourt dans une heureuse tranquillité le cercle étroit de son existence, se tire d'affaire au jour le jour et voit tomber toutes les feuilles sans que cela lui dise autre chose sinon que l'hiver approche.
Page 260 - ... inspiré, enthousiasmaient Herder et laissaient Gœthe indifférent. La sublimité le touchait si peu que des caractères comme Luther et Coriolan lui causaient un certain malaise ; il sentait une contradiction secrète entre leur nature et la sienne.
Page 260 - Goethe comprenait tout dans l'univers, — tout, excepté deux choses peut-être, le chrétien et le héros. Il y eut là chez lui un faible qui tenait un peu au cœur. Léonidas et Pascal, surtout le dernier, il n'est pas bien sûr qu'il ne les ait pas considérés comme deux énormités et deux monstruosités dans l'ordre de la nature.
Page 19 - Shakespeare, où toi, mon ami, toi qui te reconnaîtras à la lecture de ces lignes et que j'ai plus d'une fois embrassé devant son image sacrée, tu peux encore nourrir le rêve, si doux et si digne de toi, d'élever...
Page 266 - ... vaincues ! Grandes victoires sur le mot technique, qu'on évince; sur le mot trivial, qu'on esquive ; triomphes de la périphrase...