Œuvres complètes de Condillac: Histoire moderneDufart, 1803 |
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Allemagne alliés armées armes auroient auroit avantages avoient avoit Bohême Brandebourg Brisach cardinal Catholiques Charles Cologne commencement commençoit comte d'Avaux confédération connoître conquêtes couronne d'Angleterre Danemarck déclarer demandoit députés dessein devoient devoit diète donner donnoit duc de Bavière électeurs ennemis Espagnols états de l'empire états-généraux étoient étoit eût faisoient faisoit falloit Ferdinand foible forces Frédéric général gouvernement guerre Gustave Hollande Impériaux intérêts l'électeur de Saxe l'em l'empereur l'Espagne l'Europe ligue Louis XIV maison d'Autriche maître Mansfeld maréchal Marie de Médicis Maximilien Mazarin ment mille hommes millions ministre Munster n'avoient n'avoit n'étoit négociation offroit Osnabruck paix paix de Prague Palatin Palatinat paroissoit Pays-Bas pendant pereur peuple Philippe Philippe IV plénipotentiaires pourroit pouvoient pouvoit prince d'Orange propositions Protestans provinces Provinces-Unies puissance religion république république de Venise restoit Rhin Richelieu royaume s'étoient secours seroient seroit seul succès Suède Suédois Tilly tion traité trève troupes trouvoit Valteline venoit vouloient vouloit voyoit Walstein
Popular passages
Page 79 - Y][,'™ie"}i|llrli; les négociations, lorsqu'on pouvait agir par la g»f,""E>I"" voie des armes, fit une ligue avec la république de Venise et le duc de Savoie. Le marquis de Cœuvres leva des troupes en Suisse, entra dans la Valteline à la tête de dix mille hommes-, et s'en rendit maître. Cette affaire fut enfin terminée en 1626, par un traité qui contenta les Valtelins et les Grisons. Mais les Hollandais, qui...
Page 214 - Il n'y avait déjà dans ce temps -là que sept électeurs, qui étaient les archevêques de Mayence , de Cologne et de Trêves, le roi de Bohême, le duc de Bavière, comte palatin, le duc de Saxe, et le margrave de Brandebourg.