Ébauche d'un glossaire du langage philosophique

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Ladrange, 1863 - Philosophy - 336 pages
 

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Popular passages

Page 311 - ... c'est un Dieu à la fois vrai et réel , à la fois substance et cause , toujours substance et toujours cause , n'étant substance qu'en tant que cause , et cause qu'en tant que substance ; c'est-à-dire, étant cause absolue , un et plusieurs , éternité et temps , espace et nombre, essence et...
Page 334 - PHILOSOPHIE DE LA NATURE DE HEGEL Traduite pour la première fois, et accompagnée d'une Introduction et d'un commentaire perpétuel.
Page 65 - Elle n'a jamais compris la première ligne de Montesquieu : « Les lois sont les rapports nécessaires qui dérivent de la nature des choses.
Page 334 - VIE DE JÉSUS ou examen critique de son histoire... Traduit de l'allemand sur la dernière édition par E.
Page 334 - Les Fées du moyen âge, recherches sur leur origine, leur histoire et leurs attributs , pour servir à la connaissance de la mythologie gauloise. Paris, Ladrange, 1843, iu-12 [3 fr.]. L'auteur a complété ees recherches par une noie Sur ít-í Falun...
Page 6 - La connaissance du monde extérieur est donc indispensable à la connaissance que nous avons de nous-mêmes, et, comme cette dernière connaissance est immédiate, il s'ensuit que c'est immédiatement et sans intermédiaire que les objets nous sont connus.
Page 65 - Toutes les molécules de la matière s'attirent mutuellement en raison directe des masses et inverse du carré des distances. Cette grande loi de la nature, découverte par Ne\Vton, est une conséquence nécessaire du calcul et des faits observés.
Page 191 - ... première de ses observations, puisque c'est elle qui recueille, contrôle et raconte les événements; mais c'est la philosophie de l'histoire qui en fait véritablement un élément d'étude philosophique en dégageant, à travers la trame historique, ce qui est permanent de ce qui est passager, ce qui est nécessaire de ce qui est contingent, ce qui est constant de ce qui est accidentel, en un mot...
Page 250 - Alors, vous croyez aux créatures surnaturelles, aux ondins, aux farfadets, aux sylphes, aux fées ? Gilbert : Mais oui, sans doute. Pourquoi voulez-vous que la chaîne des êtres s'arrête justement à l'homme ? Troisième voyageur : Dame, je crois à ce que je vois et à ce que je sens : je crois à ce verre de vin parce que je tiens ce verre et que je bois ce vin ; mais je ne puis croire à ce que je ne sens pas, à ce que je ne vois pas. Gilbert : Et vous avez tort, marquis... Il ya des animaux...
Page 318 - Il n'avait pas vu qu'avec des syllogismes et rien que des syllogismes on ne pourrait prouver l'existence même du dernier brin d'herbe.

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