Collection complète des oeuvres, Volume 15Société typographique de Genève, 1782 |
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affez aifément ainfi amour ANACREON ANGELIQUE auffi auroit Baffe bonheur c'eft c'eſt cadence parfaite carac CARLI CARLIN chant charmes cher chofe cœur COLETTE COLIN Compofiteur connoiffance danfe defirs DEVIN Devin du Village Dieux difcours DORANT doux efprit ELIANT Erithie eſt étoit fage fans ceffe favoir fciences feconde fecret femble fenfible fens fentir feroit fervir feul fimple flâme foins foit fonge font fous fouvent François FRONTIN fuccès fuis fujet fur-tout goût grace Hélas homme ISABELLE j'ai jamais jufte l'amour l'harmonie laiffe Léandre lettre Lifette LISETTE LISIMON loix long-tems LUCINDE m'en maniere MARTON mauvaiſe mefure mélodie ment meſure Monfieur Mufi Muficien Mufique Françoife Mufique Italienne n'eft n'étoit néceffaire OVIDE paffer paffions penfe perfonne philofophie plaifir plaifirs plaire Poefies poffible POLYCRATE portrait pourroit préfent prefque premiere puiffe queftion raifon récitatif refte rien s'eft SCENE tems Thémire VALERE veux Voilà voix
Popular passages
Page 356 - ... A l'égard des contrefugues, doubles fugues, fugues renversées, basses contraintes, et autres sottises difficiles que l'oreille ne peut souffrir et que la raison ne peut justifier, ce sont évidemment des restes de barbarie et de mauvais goût, qui ne subsistent, comme les portails de nos églises gothiques , que pour la honte de ceux qui ont eu la patience de les faire.
Page 259 - Dans ma cabane obscure Toujours soucis nouveaux ; Vent, soleil, ou froidure, Toujours peine et travaux. Colette, ma bergère, Si tu viens l'habiter, Colin dans sa chaumière N'a rien à regretter. Des champs , de la prairie , Retournant chaque soir, Chaque soir plus chérie, Je viendrai te revoir : Du soleil dans nos plaines Devançant le retour, Je charmerai mes peines En chantant notre amour.
Page xix - Tout ce qui facilite la communication entre les diverses nations porte aux unes, non les vertus des autres, mais leurs crimes, et altère chez toutes les mœurs qui sont propres à leur climat et à la constitution de leur gouvernement.
Page 303 - Qu'à m'égarer dans ces bocages Mon cœur goûte de voluptés! Que je me plais sous ces ombrages ! Que j'aime ces flots argentés ! Douce et charmante rêverie, Solitude aimable et chérie, Puissiez-vous toujours me charmer! De ma triste et lente carrière Rien n'adoucirait la misère, Si je cessais de vous aimer.
Page 306 - O difcours trop remplis de charmes ! Eft-ce à moi de vous écouter ? Je fais avec mes propres armes Les maux que je veux éviter. Une langueur enchanterefle Me pourfuit jufqu'en ce féjour ; J'y veux moralifer fans cefle , Et toujours j'y fonge à l'amour.