Edmond de PuryTyp. A. Siffer, 1894 - 102 pages |
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æther âme Arnold Böcklin artiste Bâle barque beau beauté blanc bleu blonde bras bronzé brun Buchser Burano Capri caricatures chant chantent chapeau de paille charme Chioggia chose ciel cœur de Venise coloris couleurs d'Edmond d'oeuvres école vénitienne Edmond de Pury Elena étude Eugène Grasset exposition de Lausanne fillette fleurs flocons flotte force gamins Gazette de Lausanne gris impal Irène jamais jaune jeunes l'a arrêtée l'Adriatique L'ART EN SUISSE l'artiste l'eau l'idéal l'œuvre l'un en l'autre lagune Léo-Paul Robert Léopold Robert loques lumière Maître ment mirages modèle Monsieur le rédacteur morceau Musée de Neuchâtel nacré nasses œuvres orangé paillasson Parsifal Paul Robert peintre petite peut-être Pierre Loti pleine populaire portrait portraits presque prince de Valori rame réaliste reflets verts république de Venise reste rêve rien Robert de Montesquiou rouge seulement soleil sorte splendeur Suisse Libérale tableau tablier tête tion toile travers vaseux vénitienne voilà voiles reviennent Wagner WILLIAM RITTER
Popular passages
Page 23 - A l'horizon très loin, là où le bleu du ciel et le bleu de la mer se confondent en une ligne pourprée, les bleus semblent presque roses.
Page 46 - Pompeï, devant tel bronze florentin — s'extasier d'enchantement devant tous ces gamins deminus plus frais et radieux que des fleurs, plus colorés en leurs haillons poétiques incendiés de soleil que les pages moyen-âgeux. Et de ces gamins et de ces gamines il en est éclos on sait quelle ribambelle de la palette de M.
Page 51 - Il en est toujours à l'horizon, à tous les horizons, de ces voiles ailées, de ces ailes de toile, balafrées de cadmium et de roux qui d'entre Venise et Chioggia, d'entre Chioggia et Venise s'en vont écumer l'Adriatique.
Page 31 - Ici venez, isolez-vous, Toi, qui de ton amour t'exiles, Et toi que les voitures viles Eclaboussent, Pape des fous! Vous trouverez des palais mornes Pour loger couronnes et cornes, Amoureux et rois détrônés; Et dont la vaillante lézarde, Où le ciel d'azur se hasarde, Aura de quoi vous rire au nez.
Page 97 - Il est artiste à ses heures et porte surtout un vif intérêt à tout ce qui touche de près ou de loin à nos peintres neuchâtelois ; il est un grand admirateur, entre autres, des toiles de M.
Page 31 - Venez mirer vos jaunes ris Dans le rire encore plus jaune Que le coucher du soleil aune Sur le couchant de ce débris.
Page 31 - Amants sans cœur, abbés sans prônes, Voici le décor qui vous sied : La ville incertaine et flottante Qui deux fois par jour haletante Prend et perd la tête et le pied.
Page 47 - Ohl chair calomniée, chair admirable et triste, étroite compagnonne de notre cœur dolent, dolente comme lui, plus que lui pitoyable, ô toi qui pourriras... « Si tu n'es que d'un jour, si tu n'es que d'une heure, glorieux est ce jour, féconde cette heure.