| Louise Ackermann - 1863 - 314 pages
...aux contours gracieux, Votre splendeur m'attriste, et souvent à mes yeux Votre divin sourire a fait monter les larmes. Du compagnon chéri que m'a pris...rivage. Souvent je me reproche, ô soleil sans nuage! Lorsqu'il ne te voit plus, de t'y trouver si beau. Nice, mai 1851. III Au pied des monts voici ma colline... | |
| Louise Ackermann - 1874 - 174 pages
...aux contours gracieux, Votre splendeur m'attriste, et souvent à mes yeux Votre divin sourire a fait monter les larmes. Du compagnon chéri que m'a pris...rivage. Souvent je me reproche, ô soleil sans nuage ! Lorsqu'il ne te voit plus, de t'y trouver si beau. Nice, mai 1851. III Au pied des monts voici ma... | |
| Louise Ackermann - Authors, French - 1885 - 234 pages
...aux contours gracieux, Votre splendeur m'attriste, et souvent à mes yeux Votre divin sourire a fait monter les larmes. Du compagnon chéri que m'a pris...rivage. Souvent je me reproche, ô soleil sans nuage ! Lorsqu'il ne te voit plus, de t'y trouver si beau. Au pied des monts voici ma colline abritée, Mes... | |
| Académie des sciences, arts et belles lettres de Dijon (France) - Art - 1892 - 550 pages
...réponses absurdes ou puériles, mais (1) A la comète de 4 861, p. 253. — Les malheureux, p. 281. (2) Du compagnon chéri que m'a pris le tombeau Le souvenir...Lorsqu'il ne te voit plus, de t'y trouver si beau. Nice, mai 1851, p. 246. (3) Pensées d'une solitaire. L.Ackermann, Pans, Lemerre, 1883. — Ma vie.... | |
| Académie des sciences, arts et belles lettres de Dijon (France) - Art - 1892 - 556 pages
...réponses absurdes ou puériles, mais (1) A la comète de 1861, p. 253. — Les malheureux, p. 281. (2) Du compagnon chéri que m'a pris le tombeau Le souvenir...lointain me suit sur ce rivage. Souvent je me reproche, û soleil sans nuage ! Lorsqu'il ne to voit plus, de t'y trouver si beau. Nice, mai 1851, p. 246. qui... | |
| Paul Jacquinet - Authors, French - 1893 - 704 pages
...splendeur m'attriste, et souvent à mes yeux Votre divin sourire a fait monter les larmes. Du compagnoa chéri que m'a pris le tombeau Le souvenir lointain...rivage. Souvent je me reproche, ô soleil sans nuage, Lorsqu'il ne te voit plus, de te trouver si beau. Nice, mai 1851. IlI Au pied des monts voici ma colline... | |
| A. Couvreur - Women - 1910 - 698 pages
...aux contours gracieux, Votre splendeur m'attriste, et souvent à mes yeux Votre divin sourire a fait monter les larmes. Du compagnon chéri que m'a pris...souvenir lointain me suit sur ce rivage. Souvent je me rapproche, ô soleil sans nuage, Lorsqu'il ne te voit plus, de te trouver si beau. Nice, mai 1K5I.... | |
| 1914 - 760 pages
...aux contours gracieux. Votre splendeur m'attriste, et souvent k mes yeux Votre divin sourire a (ait monter les larmes. Du compagnon chéri que m'a pris...rivage. Souvent je me reproche, ô soleil sans nuage. Lorsqu'il ne te voit plus, de t'y trouver si beau ! Et quelques mois après, elle jetait sur le papier... | |
| |