Contes d'une vielle fille à ses neveuxMichel Lévy Frères, libraires-editeurs, 1857 - 277 pages |
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1er octobre Aglaure ailes aimait Alméric âne aperçut beau belle femme bientôt bonne bonnet de coton c'était carlins Césaro chambre CHAPITRE chat chatte chers neveux chien volant chose cœur contredanse courut danse danseur disait dit-elle écou Églantine ÉMILE DE GIRARDIN étranger ne put faisait fants Faraud fée Grignotte fenêtre fleurs HADZINN A POUN hélas Henri impatience j'ai jamais jeune étranger jolie jour Léon macaroni madame de Cherville madame Épernay mademoiselle magique maîtresse malheur maman manger marmiton méchante mendiant mère merveille moquait n'avait n'était Naples NASGUETTE Noémi Noireau nuit ogres oiseau palais paraissait passer pastourelle pauvre enfant pêcheur peine pensa père personne petit joufflu petite fille plaisir poêlon poëte pouvait princesse regarder reine Marmite répondit reprit rester rien robe rossignol s'écria s'empêcher de rire s'était salon savait serait seul soir sorcier souricière souris Thérésina triste vanité venait veux vilain voilà voix voulut voyant Zoé
Popular passages
Page 129 - Ah! criait l'un, quand tu allais au moulin, tu ne te doutais guère que tu deviendrais un jour un personnage ! — Te souvient-il, disait un autre, de cette ferme où l'on te faisait rentrer les foins, et des grands coups que te donnait ton maître chaque fois que tu essayais de goûter un peu ta charge? Avoir du foin par- dessus les oreilles et n'en pouvoir manger un seul petit brin, c'était cruel!
Page 128 - ... et qu'il ne voulait point offenser ses anciens camarades, en les mettant tout simplement à la porte, il espéra qu'en renouvelant seulement ses habitudes, il dérouterait ses amis et qu'ils s'éloigneraient d'eux-mêmes.
Page 133 - ... l'herbe, des plaisirs sans fin. Les ânes du bois de Boulogne le voyant toujours avec des chevaux, mis32 comme les chevaux, galopant comme les chevaux, ne le reconnurent point pour un âne ; seulement ils disaient en le regardant courir : " Voilà un bien vilain cheval ! " Le richard n'entendant pas cela, se croyait charmant, et comme on admirait tout ce qu'il possédait, il se trouvait beau. En effet, personne n'avait plus d'élégance et ne menait plus grand train 33 que M.
Page 147 - ... un âne ! Les deux captifs ne paraissaient pas moins satisfaits de leur aventure : l'âne était si heureux d'être caressé, qu'il ne se sentait plus du tout triste ni malade ; le rossignol était si fier du cas que l'on faisait de lui, qu'il se passionnait pour sa jeune maîtresse, et jurait de ne jamais la quitter. Ils arrivèrent au château ; on les y installa tous deux, et ils s'y trouvèrent si bien, qu'ils y passèrent le reste de leurs jours, aimé, soigné (ceci est pour l'âne), écouté,...