Cours de littérature française |
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admirable Alfieri âme anglais Angleterre antique assez avaient barbarie beau Bernardin de Saint-Pierre Bossuet Brutus Buffon c'était caractère célèbre Chatam chose Cicéron critique d'Alembert Diderot discours dix-huitième siècle écrit écrivains élégante éloquence époque esprit études Fénelon Fontenelle force forme française génie gloire goût gouvernement grec grecque hardi Homère homme idées imitation ingénieux inspiré jeune l'âme l'Angleterre l'antiquité l'éloquence l'esprit l'Esprit des lois l'histoire l'homme l'imagination langage lettres liberté littéraire littérature livre lois lord lord Chatam Louis Racine Louis XIV lui-même mème ment Messieurs ministre Mirabeau moderne mœurs monde Montesquieu morale n'avait n'était naturel orateur ouvrage parlement paroles passion pensée peuple philosophie Pitt poème poésie poëte poétique politique pouvoir premier prince puissance Racine réforme religieux reste révolution rien romaine Rome Rousseau sais savant scène science semble sentiment seulement Shakspeare singulière sociale société Sophocle style sujet talent théâtre tième tion tragédie tragédie grecque tribune vérité vive Voilà Voltaire Zaïre
Popular passages
Page 34 - Qu'en un lieu, qu'en un jour, un seul fait accompli Tienne jusqu'à la fin le théâtre rempli.
Page 210 - Il ya donc une profession de foi purement civile dont il appartient au souverain de fixer les articles, non pas précisément comme dogmes de religion, mais comme sentiments de sociabilité sans lesquels il est impossible d'être bon citoyen ni sujet fidèle.
Page 208 - Gardez-vous d'écouter cet imposteur; vous êtes perdus si vous oubliez que les fruits sont à tous , et que la terre n'est à personne!
Page 291 - Un homme né chrétien et Français se trouve contraint dans la satire : les grands sujets lui sont défendus ; il les entame quelquefois , et se détourne ensuite sur de petites choses, qu'il relève par la beauté de son génie et de son style.
Page 121 - C'est ici qu'il faut se donner le spectacle des choses humaines. Qu'on voie dans l'histoire de Rome tant de guerres entreprises, tant de sang répandu, tant de peuples détruits, tant de grandes actions, tant de triomphes, tant de politique, de sagesse, de prudence, de constance, de courage, ce projet d'envahir tout, si bien formé, si bien soutenu, si bien fini, à quoi aboutit-il qu'à assouvir le bonheur de cinq ou six monstres...
Page 76 - D'un plaisir pur et doux mon âme est possédée. Va, fais tout préparer pour ces moments heureux Qui vont joindre ma vie à l'objet de mes vœux. Je vais donner une heure aux soins de mon empire, Et le reste du jour sera tout à Zaïre.
Page 457 - Tarpéienne; mais l'homme qui combat pour la raison, pour la patrie, ne se tient pas si aisément pour vaincu. Celui qui a la conscience d'avoir bien mérité de son pays, et surtout de lui être encore utile; celui que ne rassasie pas une vaine célébrité, et qui dédaigne les succès d'un jour pour la véritable gloire; celui qui veut dire la vérité...
Page 208 - ayant enclos un terrain, s'avisa de dire, ceci est » à moi, et trouva des gens assez simples pour le « croire , fut le vrai fondateur de la société civile.
Page 128 - Avant qu'il y eût des lois faites, il y avait des rapports de justice possibles. Dire qu'il n'ya rien de juste ni d'injuste que ce qu'ordonnent ou défendent les lois positives, c'est dire qu'avant qu'on eût tracé de cercle, tous les rayons n'étaient pas égaux.
Page 238 - Au banquet de la vie, infortuné convive, J'apparus un jour, et je meurs : Je meurs, et sur ma tombe, où lentement j'arrive, Nul ne viendra verser des pleurs.