Je sais quand Dieu vient se promener dans mon jardinAdam Gesbeau, écrivain schizophrène, guette l’ombre à travers la fenêtre de sa cellule et tente d’échapper au regard du père et à l’appel de Dieu. L’espace et le temps s’abolissent, les personnages se dédoublent pour dépeindre une fresque où seuls les fous sont sains d’esprit. Cette dérive haletante que les personnages de Gary Victor subissent sans un seul instant de répit nous touche au plus profond de nous-mêmes. Serions-nous tous devenus fous ? Prix RFO 2004 |
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