KantFélix Alcan, Éditeur, 1900 - 391 pages |
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Common terms and phrases
absolu affirmation analytique antinomie BARNI c'est-à-dire caractère casuistiques catégories causalité cause cepts choses concept conditions connaissance conscience cosmologique Critique déterminer devoir distinction Doctrine dogmatique doit édition effet empirique esprit esthétique extérieure faculté de juger finalité forme général grandeurs extensives HARTENSTEIN humaine Hume Ibid idéal idées intelli intelligible intuition Kant Koenigsberg Kuno Fischer l'entendement l'espace l'esprit l'être l'existence de Dieu l'expérience l'homme l'idéal l'idée l'intuition Leibniz Leipzig Lessing liberté libre-pensée limites logique loi morale lois lui-même mathématiques matière maxime mécanique Mendelssohn ment Métaphysique des mœurs méthode monde sensible mouvement nature naturelle nécessaire négative Newton nouménal noumène objet ontologique pensée phénomènes philosophie physique piétisme possible première principe priori problème qu'une question raison pratique raison pure raison spéculative rapport rationnelle réaliser réel religion Rousseau saurait science sens sentiment sera seule simple subjective substance suppose synthèse système téléologique tence terme théisme théorie thèse tion TISSOT trad transcendantale universelle vertu volonté Wolff
Popular passages
Page 214 - Conscience ! conscience ! instinct divin, immortelle et céleste voix ; guide assuré d'un être ignorant et borné, mais intelligent et libre ; juge infaillible du bien et du mal, qui rend l'homme semblable à Dieu, c'est toi qui fais l'excellence de sa nature et la moralité de ses actions...
Page 270 - Tout est bien , sortant des mains de l'Auteur des choses, tout dégénère entre les mains de l'homme.
Page 71 - Le brave enfant faisait de la géométrie sans le savoir, car il avait trouvé, à lui tout seul, que la ligne droite est le plus court chemin d'un point à un autre.
Page 57 - ... à rien. Que l'on cherche donc une fois si nous ne serions pas plus heureux dans les problèmes de la métaphysique, en supposant que les objets se règlent...
Page 165 - La première ne considère que l'entendement et la raison même dans un système de tous les concepts et de tous les principes qui se rapportent à des objets en général, sans admettre des objets...
Page 300 - La beauté est la forme de la finalité d'un objet, en tant qu'elle y est perçue sant représentation de fin.
Page 135 - On ne peut pas se défendre de cette pensée, mais on ne peut pas, non plus, la supporter, qu'un être, que nous nous représentons comme le plus élevé de tous les êtres possibles, se dise, en quelque sorte, à lui-même : Je suis de toute éternité ; en dehors de moi rien n'existe, hormis ce qui n'existe que par ma volonté ; mais d'où suis-je donc ? Ici, tout s'écroule...
Page 118 - Antithèse : Le monde n'a ni commencement dans le temps ni limite dans l'espace, mais il est infini aussi bien dans le temps que dans l'espace.
Page 239 - C'est ainsi seulement que l'on peut réaliser l'idée d'un droit public des gens, qui termine les différends des peuples d'une manière civile, comme par un procès, et non d'une manière barbare (à la façon des sauvages), c'est-à-dire par la guerre.
Page 238 - Haye pendant la première moitié du xvnr siècle, « et qui avait pour but de fixer les formalités et les « règles du droit international, à l'égard de la conser