VÉRONIQUE, seule, regardant au dehors. Midi, la terre brûle, sous l'implacable été; et, depuis tant de jours, pas un souffle de vent, pas une goutte d'eau ! Dans ce creux de montagnes, où la chaleur s'amasse, le village perdu flambe comme dans un... Les oeuvres complètes - Page 413by Émile Zola - 1887Full view - About this book
| Alfred Bruneau, Émile Zola - Operas - 1897 - 84 pages
...vallon desséché et rocailleux, d'un flamboiement d'incendie, sous l'ardent soleil d'août. SCÈNE I VÉRONIQUE, seule, regardant au dehors. Midi, la terre...la chaleur s'amasse, le village perdu flambe comme dans un brasier. Ah! mon cher fils, mon pauvre Guillaume, quel chagrin à le savoir depuis l'aube au... | |
| Alfred Bruneau - 1897 - 110 pages
...vallon desséché et rocailleux, d'un flamboiement d'incendie, sous l'ardent soleil d'août. SCÈNE I VÉRONIQUE, seule, regardant au dehors. Midi, la terre...pas une goutte d'eau ! Dans ce creux de montagnes, oft la chaleur s'amasse, le village perdu flambe comme dans un brasier. Ah! mon cher fils, mon pauvre... | |
| Émile Zola, Alfred Bruneau - French drama - 1921 - 334 pages
...des•éché et rocailleux d'un flamboiement d'incendie, sous l'ardent soleil d'août. / SCÈNE 1 VÉRONIQUE VÉRONIQUE, seule, regardant au dehors. Midi, la terre...contre ce dur sol de cailloux, où rien ne pousse I L'angélus est sonné, tout le monde s'est mis à table. Est-il donc foudroyé, qu'il ne revient... | |
| Emile Stiévenard - French language - 1924 - 132 pages
...jnls,Estmlsdans l'herbe et dansles chants . HAMELLE, Editeur Vers blancs de Bruneau : Midi, la terre hrûle sous l'implacable été et depuis tant de jours pas un souffle de vent, pas une goutte d'eau! 6 syllabes. 6 " — fi — Ii — 6 — m Mi.di. fa ter.rebru.le sousl'implacableé. té P r' r et,... | |
| Émile Zola - 1897 - 968 pages
...d'incendie, sous l'ardent soleil d'août. SCÈNE PREMIÈRE VÉRONIQUE, seule, regardant au-dehors. Midi, la terre brûle, sous l'implacable été; et,...la chaleur s'amasse, le village perdu flambe comme dans un brasier. Ah! mon cher fils, mon pauvre Guillaume, quel chagrin à le savoir depuis l'aube au... | |
| 1901 - 970 pages
...cabane, il passe, par une transposition toute d'art, dans l'orchestre qui vibre sourdement, pesamment. « Midi... la terre brûle sous l'implacable été, et,...s'amasse, le village perdu flambe comme un brasier... » Jusqu'à la fin de l'acte aussi les voix, les instruments, qui semblent enfiévrés par le soleil,... | |
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