Die Areolae: nach Handschriften der Königlichen Bibliotheken zu Berlin und Erfurt zum ersten Male hrsg

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G. Reimer, 1893 - Materia medica - 141 pages
 

Selected pages

Popular passages

Page xv - Saint-Amand avec éloge ; il * même fuit imprimer un traité de matière médicale qu'il avait extrait de ses ouvrages. On ignore le temps de la mort du médecin dont nous parlons , et l'on ne sait rien de plus sur son compte, sinon qu'en 1395 on conservait encore soigneusement , dans les archives de la faculté de Paris , un de ses ouvrages intitulé Concordanlice Joannis deSanctoAmando ; et que ce livre se donnait en garde au doyen , qui devait le rendre à son successeur.
Page 56 - Rubea tinctorum utrumque aperit et proprie aqua ejus epar aperit, quia confert hydropisi de friigida causa et in hoc est ei proprietas et maxime cum oxymelle. — Raphanus utrumque aperit et proprie aqua ejus, unde confert hydropisi. — Reubarb. confert epati et extenuat splenem, quia aperitivum et confortat sua ponticitate, unde dicit Aristoteles in libro de regimine principum quod reubarbarum est vita epatis sicut vinum est vita calons et Avic.
Page xv - Il est très-vraisemblable que Jean de Saint-Amand a long-temps professé la médecine à Paris. Le bénéfice qu'il possédait à Tournai ne fait point une preuve contraire à cette opinion ; car tout le monde sait que la médecine a été long- temps , en France , entre les mains des clercs, même après la réforme de l'université de Paris, en 1452, par le cardinal d'Estouteville, qui permit aux gens mariés de jouir des droits de la régence, dont ils avaient été exclus jusqu'alors. Peut-être...

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