Œuvres completes de Voltaire, Volume 14la Société Littéraire-typographique, 1785 |
Contents
100 | |
117 | |
133 | |
145 | |
169 | |
175 | |
313 | |
315 | |
317 | |
318 | |
321 | |
322 | |
330 | |
332 | |
343 | |
347 | |
348 | |
349 | |
377 | |
378 | |
379 | |
380 | |
387 | |
391 | |
401 | |
422 | |
427 | |
432 | |
437 | |
440 | |
445 | |
473 | |
477 | |
478 | |
Other editions - View all
Common terms and phrases
affez aimable aime ainfi amis amoureux arts auffi aurait auteur beauté beaux belle brillant C'eft c'eſt cent chanter charmant cher chercher cœur Contes cour d'être demandait devait Dieu Dieux dire doit donne doux écrit efprits eſt êtes fage faint fais fans favez fefait femme fera fervir feul fille fils fleurs foit fond font former fort fous fuis gens gloire goût grec guerre héros heureux homme J'ai jouir jour l'abbé l'amour l'art l'auteur l'autre l'efprit lettres livre madame main maître malheur Mars mieux mille monde mort n'eft n'en nature nouveau ouvrage paffé parler pauvre pays peine père perfonne petit petite philofophie pièce place plaifir plaifirs plaire porte portrait premier prince qu'en qu'un raifon rien rois s'il Satires talens tendre terre tour traits trouve venir Vénus vérité vertu veux voilà voit Voltaire voyant vrai yeux
Popular passages
Page 137 - Ainsi l'on voit en Angleterre, en France, Par cent canaux circuler l'abondance. Le goût du luxe entre dans tous les rangs : Le pauvre y vit des vanités des grands; Et le travail, gagé par la mollesse, S'ouvre à pas lents la route à la richesse.
Page 26 - Que la nature force à se venger eux-mêmes, Et dont les troncs pourris exhalent dans les vents De quoi faire la guerre au reste des vivants, Sont les titres affreux dont le droit de l'épée, Justifiant César, a condamné Pompée.
Page 154 - II prétendait avec componction Qu'il avait fait jadis des comédies, Dont à la Vierge il demandait pardon. — Gresset se trompe, il n'est pas si coupable: Un vers heureux et d'un tour agréable Ne suffit pas; il faut une action, De l'intérêt, du comique, une fable, Des mœurs du temps un portrait véritable, Pour consommer cette œuvre du démon.
Page 126 - Est-ce vertu ? c'était pure ignorance. Quel idiot, s'il avait eu pour lors Quelque bon lit, aurait couché dehors ? Mon cher Adam, mon gourmand, mon bon père, Que faisais-tu dans les jardins d'Eden?
Page 154 - D'être au collège un bel esprit mondain, Et dans le monde un homme de collège ; Gresset dévot, longtemps petit badin. Sanctifié par ses palinodies, II prétendait avec componction Qu'il avait fait jadis des comédies, Dont à la Vierge il demandait pardon. — Gresset se trompe, il n'est pas si coupable. Un vers heureux et d'un tour agréable Ne...
Page 167 - QU'AS-TU, petit bourgeois d'une petite ville ? Quel accident étrange, en allumant ta bile, A sur ton large front répandu la rougeur ? D'où vient que tes 'gros yeux pétillent de fureur ? Réponds donc. — L'univers doit venger mes injures ; L'univers me contemple, et les races futures Contre mes ennemis déposeront pour moi. — L'univers, mon ami, ne pense point à toi, L'avenir encor...
Page 391 - Souvent un peu de vérité Se mêle au plus grossier mensonge : Cette nuit, dans l'erreur d'un songe, Au rang des rois j'étais monté. Je vous aimais, princesse, et j'osais vous le dire! Les dieux à mon réveil ne m'ont pas tout ôté; Je n'ai perdu que mon empire.
Page 128 - L'art plus heureux de séduire les cœurs, De cent plaisirs font un plaisir unique.
Page 168 - L'intérêt du public se joint à ma vengeance; Je prétends des plaisants réprimer la licence. Pour trouver bons mes vers il faut faire une loi; Et de ce même pas je vais parler au roi.
Page 379 - Ainsi donc vous réunissez Tous les arts , tous les goûts , tous les talents de plaire : Pompadour, vous embellissez La cour, le Parnasse, et Cythère. Charme de tous les cœurs , trésor d'un seul mortel , Qu'un sort, si beau soit éternel ! Que vos jours précieux soient marqués par des fêtes ; Que la paix dans nos champs revienne avec Louis!