Anecdotes du temps de Napoléon Ier

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Hachette, 1867 - 220 pages
 

Table des matières

I
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II
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III
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IV
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V
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VI
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VII
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VIII
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L
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LI
109
LIV
110
LV
111
LVI
113
LVII
115
LVIII
116
LIX
117

IX
15
XI
16
XII
17
XIII
20
XIV
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XV
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XVI
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XVII
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XVIII
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XIX
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XX
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XXI
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XXII
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XXIII
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XXIV
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XXV
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XXVI
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XXVII
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XXVIII
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XXIX
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XXX
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XXXI
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XXXII
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XXXIII
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XXXVI
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Fréquemment cités

Page 64 - Cette victoire finira notre campagne , et nous pourrons reprendre nos quartiers d'hiver, où nous serons joints par les nouvelles armées qui se forment en France, et alors la paix que je ferai sera digne de mon peuple, de vous et de moi.
Page 63 - Les positions que nous occupons sont formidables , et pendant qu'ils marcheront pour tourner ma droite , ils me présenteront le flanc. « Soldats, je dirigerai moi-même tous vos bataillons; je me tiendrai loin du feu, si avec votre bravoure accoutumée...
Page 63 - L'armée russe se présente devant vous pour venger l'armée autrichienne d'Ulm. Ce sont ces mêmes bataillons que vous avez battus à Hollabrunn, et que depuis vous avez constamment poursuivis jusqu'ici. « Les positions que nous occupons sont formidables, et, pendant qu'ils marcheront pour tourner ma droite, ils me présenteront le flanc. Soldats, je dirigerai moi-même vos bataillons.
Page 165 - C'est donc à dire que si je venais à vous manquer demain, vous vous égorgeriez encore entre vous de plus belle ? » Et marchant à grands pas il se frappait le front de la main, disant : « Ah ! pauvre France ! que tu as longtemps encore besoin d'un tuteur !
Page 63 - Soldats, je dirigerai moi-même tous vos bataillons ; je me tiendrai loin du feu, si, avec votre bravoure accoutumée, vous portez le désordre et la confusion dans les rangs ennemis ; mais, si la victoire était un moment incertaine, vous verriez votre Empereur s'exposer aux premiers coups, car la victoire ne saurait...
Page 165 - vous tiens pour coupable, pour criminel: vous " ne tendez à rien moins qu'à ramener le désor" dre, la confusion, l'anarchie, les massacres. " Sommes-nous donc des bandits, et ne suis-je " qu'un usurpateur ! Je n'ai détrôné personne, " Monsieur ; j'ai trouvé, j'ai relevé la couronne " dans le ruisseau, et le peuple l'a mise sur ma " tête ; qu'on respecte ses actes !.. . . " Analyser en public, mettre en question, dis...
Page 170 - ... beaucoup des questions qu'il lui ferait probablement et de ce qu'elle aurait à lui répondre. On lui avait dit que Napoléon s'informait presque toujours de quel département on était, de l'âge qu'on pouvait avoir, et du nombre d'enfants qu'on avait. Connaissant son infirmité, elle se méfia de son oreille, que la timidité ou l'émotion pouvait rendre encore plus dure dans un pareil moment, et elle calcula que l'empereur lui adresserait les questions dans l'ordre où les avait classées...
Page 59 - faites pas fusiller ? — Non : ce peuple est trop étranger à « nous , à nos habitudes ; il lui faut des chefs. J'aime mieux « qu'il ait des chefs d'une espèce pareille à celui-ci, qui ne « peut ni monter à cheval ni manier le sabre, que de lui en « voir comme Mourad-Bey et Osman-Bey. La mort de ce « vieillard impotent ne produirait aucun avantage, et aurait « pour nous des conséquences plus funestes que vous ne pensez.
Page 189 - Comment ! madame, vous qui dansez de manière à ce que nous autres experts nous soyons flattés de vous engager, vous qui avez répété avec moi ce menuet auquel j'ai fait, j'ose le dire, quelques améliorations, et qui aurait reçu de moi un baptême de grâce et d'aplomb pour la révérence, vous allez.. ..oh!
Page 164 - L'Empereur, à qui tout parvenait et qui voulait tout connaître, se fit apporter ce discours ; il le trouva de la dernière extravagance, et en prononça sur le champ l'interdiction. Un de ses...

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