Barzaz-Breiz: Chants populaires de la Bretagne, recueills et publiés avec une traduction française, des arguments, des notes et les mélodies originale, Volume 1A. Franck, 1846 |
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Barzaz-Breiz: Chants populaires de la Bretagne, recueills et ..., Volume 1 Théodore Hersart vicomte de La Villemarqué Affichage du livre entier - 1846 |
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Expressions et termes fréquents
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Fréquemment cités
Page 241 - Il n'était pas encore bien loin du manoir que déjà son épouse essuyait plus d'un dur propos. — Jetez là votre robe rouge et prenez-en une blanche et allez à la lande garder les troupeaux. — Excusez-moi, mon frère, qu'ai-je donc fait? Je n'ai gardé les moutons de ma vie. — Si vous n'avez gardé les moutons de votre vie, voici une longue lance qui vous apprendra à les garder.
Page 327 - Un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept, huit, neuf, dix, onze, douze, Treize, quatorze, quinze, seize, dix-sept, dix-huit, dix-neuf, vingt.
Page 143 - Anne, je vous ferai un présent. • Je vous ferai présent d'un cordon de cire qui fera trois fois le tour de vos murs, Et trois fois le tour de votre église, et trois fois le tour de votre cimetière, et trois fois le tour de votre terre, arrivé chez moi.
Page 233 - Il en vint une multitude , par toutes les routes , de loin et de près, du nord et du midi. Il en vint du Maine et de l'Anjou , du Poitou et de la Bretagne , de la France et de la Flandre , de l'Aquitaine et de la Bourgogne, du Piémont et des bords du Rhin.
Page 94 - Oh! oui, sûrement, madame, répliqua-t-il; et déjà elle était en croupe sur sa bête, et bientôt déposée sur l'autre rive. Alors, la belle dame lui dit : — Jeune homme, vous ne savez pas qui vous venez de passer : je suis la Peste. Je viens de faire le tour de la Bretagne, et me rends à l'église du bourg, où l'on sonne la messe ; tous ceux que je frapperai de ma baguette mourront subitement; pour vous, ne craignez rien, il ne vous arrivera aucun mal, ni à votre mère non plus.
Page 237 - Silvestik , bonheur à vous , et écoutez : j'ai ici une lettre pour vous. — Dans trois ans et un jour j'arriverai heureusement , dans trois ans et un jour je serai près de mon père et de ma mère. Deux ans s'écoulèrent, trois ans s'écoulèrent... — Adieu Silvestik , je ne te verrai plus ! si je trouvais tes pauvres petits os, jetés par la mer au rivage , oh ! je les recueillerais, je les baiserais ! Elle n'avait pas fini...
Page 45 - Ma chère belle-mère, dites-moi : mettrai-je ma robe ronge on ma robe bleue pour aller à l'église? — La mode est venue, mon enfant, de porter du noir à l'église. — En franchissant l'échalier du cimetière, elle vit la tombe de son pauvre mari. — Qui de notre famille est mort, que notre terrain a été fraîchement bêché? — Hélas ! ma fille, je ne puis plus vous le cacher, votre pauvre mari est là 1 — Elle se jeta à deux genoux, et ne se releva plus.
Page 33 - II est aussi blanc que la neige brillante ; il porte au front des cornes d'argent. « L'eau bouillonne sous lui, au feu du tonnerre de ses naseaux.
Page 197 - A peine il achevait ces mots, que son épée sortait du fourreau, « Qu'elle frappait au ras des épaules la tête du Frank courbé en deux, •• Et qu'elle coupait chairs et nerfs et une des chaînes de la balance de plus. « La tête tomba dans le bassin, et le poids y fut bien ainsi.
Page 253 - C'est pour vous que je l'ai attrapé ; je suppose, ma belle, qu'il vous fera plaisir. — En apprenant la nouvelle, le jeune servant d'amour...