Courrier des LXXXIII départemenschez l'auteur, 1792 |
Expressions et termes fréquents
adminiftratifs adreffe Affemblée affez ainfi août armée Armée du Nord ASSEMBLÉE NATIONALE auffi auroit Autrichiens avoient avoit avons bataillon befoin braves c'eft c'eſt camp camp de Maulde canons caufe chofe citoyens commiffaires confeil général conftitution corps légiflatif correfpondant Courrier DES LXXXIII crime décret dépofer devoit difant difpofé Dillon directoire Dumouriez ennemis eſt étoient étoit événemens falut fang fans doute fe font féance fection fédérés fentiment ferment feront fervir feul figne foir foit foldats fommes fous frontieres fuiffes fuivant fur-tout garde nationale Gorfas GORSAS grenadiers hommes jufqu'à juftice l'Affemblée Nationale l'armée l'ennemi Lafayette lettre liberté lifte civile loix Longwy lorfque Louis XVI Luckner LXXXIII DÉPARTEMENS Marfeillois mefures miniftre municipalité n'eft n'étoit officiers paffer paroît patrie patriotes patriotifme perfonnes peuple plufieurs pofte pouvoir exécutif préfent préfident prife propofer Pruffiens raifon refpectable s'eft Suiffes tems Théâtre du Vaudeville toyens trahifon troupes Tuileries tyrans Vires acquirit eundo vive la Nation
Fréquemment cités
Page 468 - Tout est soldat pour vous combattre ; S'ils tombent, nos jeunes héros, La terre en produit de nouveaux Contre vous tout prêts à se battre!
Page 259 - Dillon, commandant en chef sur la frontière du Nord, ne peut les communiquer à l'armée avant d'en avoir été instruit d'une manière officielle ou certaine; mais on assure que la Constitution a été violée. Quels que soient les parjures, ils sont les ennemis de la liberté française. Le général saisit cette occasion périlleuse de renouveler le serment de verser jusqu'à la dernière goutte de son sang...
Page 379 - Je dois compte au public de mes motifs. » J'ai combattu, depuis l'origine de la Révolution, la plus grande partie de ces criminels de lèse-nation; j'ai dénoncé la plupart d'entre eux; j'ai prédit tous leurs attentats, .lorsqu'on croyait encore à leur civisme; je ne...
Page 270 - Eh? peuple enfant! que nous importent les mots, pourvu que nous ayons un gouvernement à l'ombre duquel nous puissions vivre heureux et libres? (1) » Le mot et l'idée de République ne s'imposent donc pas aux esprits.
Page 263 - ... la nouvelle réquisition. Le ministre de la guerre rendra compte de ce qui le concerne. Le ministre de l'intérieur dira que les décrets déjà rendus , relativement aux paiemens de pensions , traitemens , &c.
Page 468 - Amour facré de la Patrie , Conduis , foutiens nos bras vengeurs. Liberté' , liberté chérie , Combats avec tes défendeurs.
Page 391 - l'être infectés de prétendus soldats patriotes qui pourront faire l>ien du mal. Mon 'village ne devoit point en avoir ; mais comme il -s'est peuplé de gros propriétaires qui n'ont pas jugé à propos, ou de gagner la frontière , ou d'aller se renfermer dans Châlons et dans Reims „ l'administration' juge à propos de mettre sur nos dos aristocratiques soixante surveillans qu'on cherchera à remplir de vertus constitutionnelles.
Page 79 - Lesdits sous-officiers et soldats ne seront point forcés de contracter un engagement militaire. Ceux qui voudront contracter un tel engagement seront indifféremment admis, à leur volonté, soit dans les bataillons de volontaires nationaux, soit...
Page 265 - ... à recenser les opinions pour le oui ou pour le non ; on cherche même à faire prendre engagement par écrit à ceux qui' sont pour s'y opposer , afin de les forcer à tenir à leur opinion.
Page 467 - HYMNE DES MARSEILLOIS. ALLONS, enfans de la patrie! Le jour de gloire eft arrivé! Contre nous, de la tyrannie L'étendard fanglant eft levé. Entendez-vous, dans les campagnes, Mugir ces féroces foldats ? Ils viennent , jufques dans vos bras , Egorger vos fils , vos compagnes ! — Aux armes , Citoyens ! formez vos bataillons : Marchez...