Cours de belles-lettres, ou, Principes de la littérature, Tom 3 |
Co mówi± ludzie - Napisz recenzjê
Nie znaleziono ¿adnych recenzji w standardowych lokalizacjach.
Inne wydania - Wy¶wietl wszystko
Kluczowe wyrazy i wyra¿enia
affez aifé Ainfi Arts auffi auroit auteur avant avoit avons beau befoin belle c'eft C'eſt C'étoit caractère chant chofes commence d'Horace Dieu dieux différence dire doit donner efpece élevé enfin eſt étoient étoit exemple fans fatirique felon femble fens fentiment fera feroit feul fimple foin foit fond font force forme fort forte fouvent ftyle fublime fuit fujet général genre gens gloire goût grace Grecs homme Horace idées jour juge l'art l'autre l'efprit l'un latin lieu lui-même lyrique matiere ment mettre mieux monde montrer morceau mort mots n'eft nature objets ouvrages paffer parle peine penfée peuple piéce plein poëfie poëme poëte poëtique porte préfente premier premiere propre qu'un quelquefois quid raifon regles rendre rien s'il Satire tems terre tion tirer tour traits trouve vérité veut vices Voilà voit vrai yeux دو رو رو رو
Popularne fragmenty
Strona 52 - La mort a des rigueurs à nulle autre pareilles; On a beau la prier, La cruelle qu'elle est se bouche les oreilles Et nous laisse crier. Le pauvre en sa cabane, où le chaume le...
Strona 59 - Bâtissant une ville étonna l'univers, Quelque bruit qu'il ait eu , n'a point fait de merveille Que ne fassent mes vers. Par eux de tes beaux faits la terre sera pleine , Et les peuples du Nil , qui les auront ouïs, Donneront de l'encens comme ceux de la Seine Aux autels de Louis.
Strona 181 - LE MOIS DE MAI. LJE premier jour du mois de mai Fut le plus heureux de ma vie. Le beau dessein que je formai Le premier jour du mois de mai! Je vous vis, et je vous aimai. Si...
Strona 177 - Vous n'écrivez que pour écrire : C'est pour 'vous un amusement. Moi, qui vous aime tendrement, Je n'écris que pour vous le dire.
Strona 54 - Fais choir en sacrifice au Démon de la France Les fronts trop élevés de ces âmes d'enfer; Et n'épargne contre eux pour notre délivrance Ni le feu ni le fer.
Strona 176 - Madrigal au contraire a une pointe toujours douce, gracieufe , qui n'a de piquant que ce qu'il lui en faut pour n'être pas fade.
Strona 105 - C'eft même cet efprit qui eft une des principales différences qu'il ya entre la fatire & la critique. Celleci n'a pour objet que de conferver pures les idées du bon & du vrai dans les ouvrages d'efprit & de goût fans aucun rapport à l'auteur , fans toucher ni à fes ralens , ni à rien de ce qui lui eft perfonnel.
Strona 179 - MA foi, c'est fait de moi ; car Isabeau M'a conjuré de lui faire un rondeau, Cela me met en une peine extrême. Quoi ! treize vers, huit en eau, cinq en ème ! Je lui ferais aussitôt un bateau.
Strona 57 - Et soient tes matelots. Là rendront tes guerriers tant de sortes de preuves, Et d'une telle ardeur pousseront leurs efforts, Que le sang étranger fera monter nos fleuves Au-dessus de leurs bords. Par cet exploit fatal en tous lieux va renaître La bonne opinion des courages françois; Et le monde croira, s'il doit avoir un maître, Qu'il faut que tu le sois. O que pour avoir part en si belle aventure Je me souhaiterais la fortune d'Éson, Qui, vieil comme je suis, revint contre nature En sa jeune...