Dictionnaire historique d'éducation, où, sans donner de préceptes, on se propose d'exercer & d'enrichir toutes les facultés de l'âme & de l'esprit, en substituant les exemples aux leçons, les faits aux raisonnemens, la pratique à la théorie ...Vincent, 1771 |
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Dictionnaire historique d'éducation, où, sans donner de préceptes, on se ... Jean Jacques Fillassier Affichage du livre entier - 1771 |
Expressions et termes fréquents
affez ainfi alloit Anaxarque Antioche Athéniens auffi auffi-tôt avant Jefus-Chrift avoient avoit ayant befoin c'eft c'eſt c'étoit Caton d'Utique caufe célèbre chaffe chofe Chrift citoyen confeil confidérable Conful deffein demandoit devoit Dieu difant difcours difoit diftingua dit-il efprit enfans enfuite ennemis eſt étoient étoit fage faifoient faifoit faint falut fans fçavant fçavoir feconde fecret feigneur fentiment feroit fervices fervir feul fiécle fiége foit foldats fomme fon pere fous le règne fouvent François frere fuccès fuis fuivant fujets fur le champ fur le thrône fur-tout furnommé grace Grèce Henri Henri IV homme jeune jour jufqu'à jufte juftice l'an l'Empereur Lacédémone laiffer loix long-tems Louis XIV Macédoine magiftrat maiſon maréchal miniftre Monarque monfieur mort mourut n'avoit n'eft officier paffer Perfe perfonne peuple philofophe plaifir plufieurs poëte pouvoit préfent Prince refte répondit répondit-il Romain Sarafins ſes ſon Sparte Syrie tems Théodofe venoit vouloit Xerxès
Fréquemment cités
Page 419 - Mon Père , j'ai entendu plusieurs grands orateurs dans ma chapelle ; j'en ai été fort content : pour vous, toutes les fois que je vous ai entendu , j'ai été très-mécontent de moi-même.
Page 469 - Le maréchal, après avoir lu, dit au Roi : ' Sire, Votre Majesté juge divinement bien de toutes choses ; il est vrai que voilà le plus sot et le plus ridicule madrigal que j'aie jamais lu.
Page 515 - ... plus digne du diadème qu'un certain Abdolonyme, descendu , quoique de loin, de la tige royale, mais si pauvre, qu'il étoit contraint, pour vivre, de cultiver par un travail journalier un jardin hors de la ville. Sa probité l'avoit réduit, comme beaucoup d'autres, à cette pauvreté.
Page 19 - ... dans l'Egypte. Mais toi , qui te vantes de venir pour exterminer les voleurs , tu es toi-même le plus grand voleur de la terre. Tu as pillé et saccagé toutes les nations que tu as vaincues ; tu as pris la Lydie, envahi la Syrie , la Perse, laBactriane: tu songes à pénétrer jusqu'aux Indes; et tu viens ici pour nous enlever nos troupeaux.
Page 100 - Roi, fut le feul à qui il ne donna rien. Cet officier , -outre fa charge d'échanfon , avoit celle d'introduire chez le Roi ceux qui dévoient être admis à fon audience...
Page 51 - Il fit aussitôt appeler les juges : Si vous ne terminez demain cette affaire, leur dit-il , je vous jugerai vous-mêmes. Le lendemain la sentence fut rendue. La veuve étant venue le remercier, un cierge allumé à la main , selon la coutume de ce temps-là : Où sont les juges?
Page 19 - Qu'avons-nous à démêler avec toi ? Jamais nous « n'avons mis le pied dans ton pays. N'est-il pas permis « à ceux qui vivent dans les bois d'ignorer qui tu es et « d'où tu viens? Nous ne voulons ni obéir ni comman
Page 191 - ... et, les arrosant de ses larmes, elle conjure ce général, avec des cris et des sanglots, de lui rendre l'unique soutien de sa vieillesse ou de lui arracher à elle-même la vie. Les moines redoublent leurs instances; ils supplient les juges de renvoyer le jugement à l'empereur; ils s'offrent de partir sur-le-champ et promettent d'obtenir la grâce de tant de malheureux.
Page 96 - Champagne , un Officier demande , pour un coup de main , douze hommes de bonne volonté : tout le Corps refte immobile, & perfonne ne répond.
Page 481 - Romains , ayant vaincu les nations les plus belliqueuses, et chassé Pyrrhus de l'Italie, cultivoit lui-même ce petit coin de terre , et , après tant de triomphes , habitoit encore une si chétive cabane.