Grammaire comparée de la langue françaiseGeorg, 1885 - 723 pages |
Autres éditions - Tout afficher
Expressions et termes fréquents
accentuée adjectifs adverbes adverbiale aimé Article atone attribut AYER c'est-à-dire chanté chuintante circonstanciel composés conditionnel conjonction conjugaison consonne finale datif dérivés désigne déterminé devant diphtongue distingue élidée emploie étymologique exprime faible féminin Fén fin-iss-ais flexion formation forme française futur Futur parfait général génitif genre Grammaire comparée grammatical gutturale infinitif intransitifs l'accent tonique l'accusatif l'action l'adjectif l'imparfait l'indicatif l'infinitif l'orthographe labiale langue langues romanes latin latin vulgaire lettre lieu linguale liquides manière marque masculin médial ment mots mouillé muet nasale négation neutre nombre cardinaux noms communs noms de nombre noms propres parfait parle part-ais participe passé participe présent personne phrase pluriel plus-que-parfait précédé prédicat préfixes prétérit pronom conjoint pronom indéfini pronom relatif prononce quelquefois radical rapport règle remplace romp-is s'emploie s'emploient s'est sens seul siècle signification simple singulier sonore souvent spirantes subjonctif suffixe suivi sujet syllabe terminaison tion tonique verbes voyelle voyelle nasale
Fréquemment cités
Page 654 - Au-devant de ton bras je le sens qui s'avance. Frappe : ou si tu le crois indigne de tes coups, Si ta haine m'envie un supplice si doux, Ou si d'un sang trop vil ta main serait trempée, Au défaut de ton bras prête-moi ton épée ; Donne.
Page 575 - Je forme une entreprise qui n'eut jamais d'exemple et dont l'exécution n'aura point d'imitateur. Je veux montrer à mes semblables un homme dans toute la vérité de la nature ; et cet homme ce sera moi.
Page 99 - On n'apprend pas la prononciation dans un dictionnaire ; on ne l'y apprendrait que mal, quelque peine qu'on se donnât pour la représenter aux yeux.
Page 678 - Quelle maison pour lui ! l'on y tournait à peine. « Plût au ciel que de vrais amis, Telle qu'elle est, dit-il, elle pût être pleine ! » Le bon Socrate avait raison De trouver pour ceux-là trop grande sa maison. Chacun se dit ami ; mais fou qui s'y repose : Rien n'est plus commun que ce nom, Rien n'est plus rare que la chose.
Page 464 - Turenne meurt, tout se confond, la fortune chancelle, la victoire se lasse, la paix s'éloigne , les bonnes intentions des alliés se ralentissent, le courage des troupes est abattu par la douleur et ranimé par la vengeance ; tout le camp demeure immobile.
Page 687 - Creusez, fouillez, bêchez, ne laissez nulle place Où la main ne passe et repasse. » Le père mort, les fils vous retournent le champ, Deçà, delà, partout; si bien qu'au bout de l'an II en rapporta davantage.
Page 677 - J'ai des jambes , et vous des yeux. Moi , je vais vous porter ; vous , vous serez mon guide : Vos yeux dirigeront mes pas mal assurés ; Mes jambes, à leur tour, iront où vous voudrez. Ainsi , sans que jamais notre amitié décide Qui de nous deux remplit le plus utile emploi , Je marcherai pour vous, vous y verrez pour moi.
Page 467 - On força le palais : ces scélérats n'osèrent pas résister longtemps, et ne songèrent qu'à s'enfuir. Astarbé, déguisée en esclave, voulut se sauver dans la foule ; mais un soldat la reconnut : elle fut prise, et on eut bien de la peine à empêcher qu'elle ne fût déchirée par le peuple en fureur. Déjà on avait commencé à la traîner dans' la boue; mais Narbal la tira des mains de la populace.
Page 671 - Avant donc que d'écrire, apprenez à penser. Selon que notre idée est plus ou moins obscure , L'expression la suit , ou moins nette , ou plus pure.
Page 471 - Ce brouet fut par lui servi sur une assiette : La cigogne au long bec n'en put attraper miette; Et le drôle eut lapé le tout en un moment. Pour se venger de cette tromperie, A quelque temps de là la cigogne le prie. Volontiers, lui dit-il, car avec mes amis Je ne fais point cérémonie.