Journal des Savants, Volume 55Éditions Klincksieck, 1714 - Literature |
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Common terms and phrases
abſolument affez ainfi ainſi auffi auroit auſſi Auteur avoient avoit beſoin c'eſt cauſe choſe conféquent confiderable deſſein Dieu Differtation ſur Diſcours dit-il diverſes Edition enfans enſuite eſt étoient étoit faint fans felon fervir feulement fiecles fignifie foit font François Françoiſe fur les Medailles grace Grec hazard Hebreu Hiſtoire Homere Joncourt juſqu'à l'Au l'Auteur l'Eglife l'Egliſe l'eſprit l'hiſtoire l'Iliade l'uſage laiſſe Langue Laodicée Latine Lettres Livre Loix lorſque maniere Medailles Medaillon d'Annie Medecine Memoires ment n'eſt Obſervations obſerve Ouvrage pagg païs paroît paſſage Pere perſonnes pluſieurs plûtôt Poëte premiere preſent preſque puiſque queſtion raiſon reflexions refutation remarques ſur réponſe reſte ruë s'eſt ſans ſçait Sçavans ſçavoir ſe ſont ſe trouve ſeconde ſelon ſens ſentiment ſes ſeul ſeule ſeulement ſoin ſoit ſon ſont ſous ſouvent ſujet Syrie Syſtême tems teur tion tître toûjours Traité troifiéme uſage Verfion verité vûë دو دو دو
Popular passages
Page 386 - Achille à le poursuivre, et qui fait même une action héroïque, de la poursuite d'un ennemi désarmé. Enfin Hector ramasse un des traits qui pleuvoient...
Page 10 - ... je pris ensuite la moitié de cette racine toute crue , sans aucune préparation , et une heure après je me trouvai le pouls beaucoup plus plein et plus vif; j'eus de l'appétit ; je me sentis beaucoup plus de vigueur , et une facilité pour le travail que je n'avois pas auparavant. Cependant je ne fis pas grand fond sur celte épreuve , persuadé que ce changement pouvoit venir du repos que nous prîmes ce jour -là.
Page 10 - II n'a point eu de commencement et il n'aura point de fin. Il a produit toutes choses dès le commencement. C'est lui qui les gouverne et qui en est le véritable seigneur.
Page 328 - C'eft peu pour lui de préparer les événemens , il les annonce fans ménagement & même plus d'une fois , avant que de les mettre fous les yeux. S'il fait combatre les^ armées , on fçait d'avance de quel côté demeurera l'avantage.
Page 13 - Ils se sont rendus redoutables à toutes les autres nations par leur férocité naturelle, et par la coutume barbare qu'ils ont de se nourrir de chair humaine. Ils poursuivent les hommes à peu près de la même manière qu'on va à la chasse des bêtes; ils les prennent vivans , s'ils peuvent; ils les entraînent avec eux, et ils les égorgent l'un après l'autre, à mesure qu'ils se sentent pressés de la faim. Ils n'ont point de demeure fixe, parce que, disent-ils, ils sont sans cesse effrayés...
Page 296 - La lumière est encore avec vous pour un peu de temps ; marchez pendant que vous avez la lumière , de peur que les ténèbres ne vous surprennent.
Page 342 - Poèmes d'Homère , il eft devenu amouieux de la découverte, & qu'il a employé pour la juftifier , cette fubtilité obfcure qui lui étoit naturelle, & qui donne tant de peine aux commentateurs , quand ils travaillent à le rendre intelligible & folide* Voilà l'hiftoire de la réputation des ouvrages d'Homère chez les Grecs.
Page 340 - Il a saisi, par une supériorité de goût, les premières idées de l'éloquence dans tous les genres; il a parlé le langage de toutes les passions, et il a du moins ouvert aux écrivains qui doivent le suivre une infinité de routes qu'il ne restait plus qu'à aplanir. Il ya apparence qu'en quelque temps qu'Homère eût vécu, il eût été du moins le plus grand poète de son pays ; et, à ne le prendre que dans ce sens, on peut dire qu'il est le maître de ceux même qui l'ont surpassé1.
Page 339 - C'étoit un génie naturellement poëtia'Hom«" X <î ue , am ' 1 des f a bles & du merveilleux , & porté en général à l'imitation , foit des objets de la nature , foit des fentimens & des actions des hommes. Il s'étoit inftruit, apparemment par fes voyages, des opinions, des ufages, & des mœurs des peuples : ainfi, étant devenu un des plus...
Page 391 - Aucun d'eux ne fupplie,aucun d'eux ne pardonne j .L'excès de leur courage étonne jufqu'à Mars , Et jamais tant d'ardeur ne charma fes regards. Jupiter veut alors fufpendre ce carnage ; Mais envain fur leur tête H répand un nuage.