L'observateur anglois, ou Correspondance secrete entre milord All'Eye et milord AllE'ar [sic], Volume 2 |
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L'observateur anglois, ou correspondance secrète entre Milord All ..., Volume 2 Mathieu-François Pidansat de Mairobert Affichage du livre entier - 1778 |
L'Observateur anglois, ou Correspondance secrète entre Milord All ..., Volume 2 Mathieu François Pidanzat de Mairobert Affichage du livre entier - 1777 |
L'observateur anglois, ou Correspondance secrete entre Milord All'Eye et ... Mathieu François Pidanzat de Mairobert Affichage du livre entier - 1777 |
Expressions et termes fréquents
ainfi arrêt auffi aujourd'hui auroit avoient avoit ayant c'eft c'eſt c'étoit charge chofe clergé compagnie compte comte confeil corps coup cour d'ailleurs d'avoir d'en d'être demande dernier devoir dire doit donner doute Enfin eſt état étoient étoit fans faux faveur fecond femble femme fera feroit fervice fervir feul fille foit fond font force forme fort forte fous fuivant furtout garde général gens Germain graces guerre homme j'ai jeune jouer jours juge l'auteur l'autre laiffer lettres lieu livres longtems Louis XV Madame magiftrats maifon main maréchal mari mémoire ment mettre mieux MILITAIRE Milord miniftre monarque mort n'eft n'en nombre nouvelle officiers ordonnance ordre paffer parlement perfonne place porte pouvoit préfent préfidente premier premiere prince procès propre public qu'à qu'un refte reine rendre Richelieu rien s'eft s'en s'il Saint tems tion traité trouve voici voulu vrai yeux
Fréquemment cités
Page 343 - m'en paroît un bien conditionné. Ayez la bonté „ de me répondre un petit mot." J'ai obfervé à celui qui m'a communiqué cette
Page 355 - vous allez concevoir fon utilité." A peine je m'y fus jetté que le mouvement de mon corps fit jouer une bascule; le dos
Page 346 - dont la paillardife avoit befoin d'être excitée par la fraîcheur, l'élafticité, l'ingénuité de l'enfance, mais chez qui la vigueur ne répondoit pas aux defirs. En revanche , nous ajouta-t-on , voici une liqueur dont il fe fait ici une grande confommation. On nous montra en même temps une multitude de flacons
Page 346 - en ce lieu, on lui adoucit la peau, on la blanchit, on la parfume ; en un mot, on y maquignone •une cendrillon comme on prépare un fuperbe cheval. On nous ouvrit enfuite une armoire
Page 96 - Il faut en convenir: vous autres François avez fait de grands progrès dans la carriere de l'extravagance humaine. Mais fans vouloir vous le difputer, Londres vous fourniroit de bonnes anecdotes fur le compte de notre nation. LE COMTE. J'en ai vu maintes preuves durant mes voyages chez
Page 138 - gens en place. Je réfléchirai fur tout cela quand ma tête „ fera un peu tranquille. Vous voyez que j'avois bien des „ raifons de ne pas aller à Saverne. Mon
Page 122 - leur doit un double hommage.' L'un fut le Caton de notre âge ; L'autre en eût été le Titus
Page 88 - non équivoques du virus vénérien qui coule déjà dans fes veines. Alors elle l'accable de reproches, elle lui prodigue les injures, les imprécations dans les termes les plus énergiques , & fe
Page 343 - bien. C'eft une ,» perfécution. Vous n'en êtes pas, mon maître $ ,, cela rend la défenfe que je fais plus belle. Per„ fonne n'a plus d'efprit que vous, ne parle &
Page 80 - Voyez cette figure ronde & vermeille comme une rofe : il ya plaifir à fe ruiner pour un minois comme celui-là. C'eft en faveur de cette actrice que le duc de Bouillon a mangé 800,000 livres en trois mois.