Lettres cabalistiques, ou, Correspondance philosophique, historique & critique: entre deux cabalistes, divers esprits élémentaires, & le seigneur Astaroth, Volume 5P. Paupie, 1766 |
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Lettres cabalistiques, ou Correspondance philosophique, historique ..., Volume 5 Jean-Baptiste de Boyer Argens (Marquis d') Affichage du livre entier - 1754 |
Lettres cabalistiques: ou, Correspondance philosophique, historique ... Jean-Baptiste de Boyer Argens (marquis d') Affichage du livre entier - 1741 |
Lettres cabalistiques, ou Correspondance philosophique, historique ..., Volume 5 Jean-Baptiste de Boyer Argens (Marquis d') Affichage du livre entier - 1754 |
Expressions et termes fréquents
affez affure aifé ainfi auffi auroit avoient avoit c'eft c'eſt Cabalifte Abukibak Cabaliſte caufe Céfar Charles IX chofes confidérable connoiffance corps crimes cruauté cruel Dieu Eccléfiaftiques efprits eſt étoient étoit fage & favant faifoit falue fang fans ceffe fans doute fanté favant Abukibak fecrets fent feroit fervir feul fiecles foient foin foit fonge font forciers fouffrir fouvent ftudieux ben Kiber fujets gens hæc Harpage Henri Henri III hiftoires Hiftoriens hommes illuftres ipfa jufte juftice kibak Kyphi l'efprit l'Eglife l'oifiveté l'ufage Lactance laiffe LETTRE lorfqu'il lorfque Magiciens Magie maniere ment miférable mort n'eft n'eſt n'étoit paffer paffion paroît penfe pere perfonnes perfuadé peuple Philofophes Pierre le cruel plufieurs Popinart Porte-toi préfent prefque premiere Prince puiffe puni quæ quam raifon reffemblance refpectable refte Royaume s'eft s'il Sorbonne Souverains Tibere tion tyran vérité دو دو رو وو
Fréquemment cités
Page 181 - Cafca fut le pre,, mier qui lui donna un coup d'épée „ près du cou ; mais le coup ne fut ni » mortel , ni bien appuyé , & il ya de » l'apparence qu'en commençant une „ fi hardie entreprife , il fut fi troublé, ,, que fa main fut mal aflurée , de for„ te que Céfar s'étant tourné, faifit „ fon épée , & la tint toujours.
Page 200 - Pierre n'attendit pas qu'on le » découvrît , & repondant à la fierté » & aux injures de fon adverfaire avec « une fierté égale , & des paroles encore » plus piquantes, il fut frappé par fon » rival d'un coup de poignard au vifage.
Page 81 - Le mouvement de l'œil est volontaire comme celui des autres parties du corps et il est naturel de le mouvoir, ou de le tenir fixe, partant il n'ya rien en cela de considérable.
Page 320 - ... taupe ; elle mange , elle dort , elle fe traîne fur fes pattes , elle eft fenfible aux fenfations qui lui caufent du plaifir. par le goût , elle craint la douleur , elle l'évite. L'homme, privé de la vue, de l'ouie & de la parole , lui reffemble parfaitement ; il n'a aucun avantage fur elle.
Page 182 - ... qu'on lui portoit au vifage , & qui le perçoient, Comme une bête féroce acculée par les Veneurs, il fe débattoit cherchant à fe démêler d'entre toutes ces mains armées contre fa vie ', car il falloit qu'ils...
Page 151 - Brantôme, plus ardent que tous; si que, lorsque le jeu se jouoit, et qu'il fut jour, et qu'il mit la tête à la fenêtre de sa chambre, et qu'il voyoit aucuns dans les...
Page 182 - Auteurs qui rapportent que fe défen,, dant contre tous les autres , & traîM nant fon corps ça & là en criant , il ,, n'eut pas plutôt vu Brutus l'épée à la „ main , qu'il fe couvrit la tête du pan „ de fa robe, & s'abandonna à fes en...
Page 179 - Philippe demeura toujours auprès de lui, jufqu'à ce qu'ils fuflTent faflafiés de cette vue. Quand il n'y eut plus perfonne , il le lava dans l'eau de la mer ; & l'ayant enfeveli avec fa propre chemife, parce qu'il n'avoit aucun autre linge , il jetta les yeux par tout fur la côte, & apperçut quelques vieux...
Page 264 - Le jeudy 26, le herault nommé Auvergne, envoyé de la part du Roy, arriva à Paris , portant au duc d'Aumale, qui s'en disoit gouverneur, mandement d'en vuider; et interdiction à la cour de parlement, à la chambre des comptes, à la cour des aides, au prevôt de Paris, et à toutes les compagnies, officiers et juges royaux, de plus exercer aucune jurisdiction.
Page 182 - Céfar , ni de profé„ rer une feule parole. Alors tous les » conjurés tirent leurs épées , & l'envi» ronnent de toutes parts ; de forte que „ de quelque côté qu'il fe tournât , il » ne voyoit que des épées nues qu'on „ lui portoit au vifage , & qui le per