Mémoires de M. de Bourrienne, ministre d'état: sur Napoléon, le directoire, le consulat, l'empire et la restauration, Volume 1Ladvocat, 1829 |
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Mémoires de M. de Bourrienne, ministre d'état: sur Napoléon, le directoire ... Louis Antoine Fauvelet de Bourrienne Affichage du livre entier - 1829 |
Mémoires de M. de Bourrienne, ministre d'état, sur Napoléon, le ..., Volume 1 Louis Antoine Fauvelet de Bourrienne (M.) Affichage du livre entier - 1829 |
Mémoires de M. de Bourrienne, ministre d'état, sur Napoléon, le Directoire ... Louis Antoine Fauvelet de Bourrienne,Bourrienne Affichage du livre entier - 1829 |
Expressions et termes fréquents
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Fréquemment cités
Page 224 - Parisiens par votre modération et votre philosophie. On vous prête mille projets plus absurdes les uns que les autres ; on ne peut pas croire qu'un homme qui fait de si grandes choses puisse se réduire à vivre en simple citoyen.
Page 264 - Le sort de l'Europe est désormais dans l'union, la sagesse et la force du gouvernement. Il est une petite partie de la nation qu'il faut vaincre par un bon gouvernement. Nous avons vaincu l'Europe, nous avons porté la gloire du nom français plus loin qu'elle ne l'aurait jamais été.
Page 205 - Avant, je placerai dans les places fortes des officiers sûrs, pensant comme moi; j'éloignerai les coquins et les placerai dans des lieux où ils ne peuvent nuire, et où leur position sera telle qu'ils ne pourront se réunir. Cela fait, dès que je serai de l'autre côté du Rhin, je proclame le roi, j'arbore le drapeau blanc : le corps de Condé et l'armée de l'empereur s'unit à nous.
Page 106 - ... réunir Kellermann et moi en Italie , c'est vouloir tout perdre. Je ne puis pas servir volontiers avec un homme qui se croit le premier général de l'Europe, et d'ailleurs je crois qu'il faut plutôt un mauvais général que deux bons. La guerre est comme le gouvernement ; c'est une affaire de tact.
Page 81 - ... premier, rue des Marais, n° 19, dans une belle maison neuve. Il avait envie de rester à Paris, et il alla voir une maison vis-à-vis de la nôtre. Il eut le projet de la louer avec son oncle Fesch, depuis cardinal, et avec un nommé...
Page 264 - ... dans le parti contraire. Ce n'est qu'avec la sagesse et une modération de pensée que l'on peut assurer d'une manière stable le bonheur de la patrie. Quant à moi, c'est le vœu le plus ardent
Page 328 - Nos meilleurs citoyens seraient emprisonnés et périraient par le crime! Le club relèverait sa tête monstrueuse pour exécuter ses projets infernaux ! Rien de pis que cette horrible idée; mieux vaut-il s'exposer à vaincre que d'être victime sans alternative. LE MILITAIRE Voilà ce que c'est que la guerre civile : l'on se déchire, l'on s'abhorre, l'on se tue sans se connaître... Les Allobroges... que...
Page 332 - ... l'île, et il pilla les magasins, en vendant à bas prix tout ce qu'il y avait, afin d'avoir de l'argent pour soutenir sa révolte, et il ravagea et confisqua les biens des familles les plus aisées, parce qu'elles étaient attachées à l'unité de la république, et il...
Page 329 - Brissot, Barbaroux aussi étaient scélérats lorsqu'ils étaient purs ; l'apanage des bons sera d'être toujours mal famés chez le méchant. Il vous semble qu'ils ne gardent aucune mesure avec vous ; et au contraire ils vous traitent en enfants égarés...
Page 61 - Vous m'avez suspendu de mes fonctions, arrêté » et déclaré suspect. » Me voilà flétri, sans avoir été jugé, ou bien jugé, » sans avoir été entendu. » Dans un état révolutionnaire, il ya deux classes, » les suspects et les patriotes. » Lorsque les premiers sont accusés, ils sont » traités par forme de sûreté, de mesures géné