Note sur l'administration d'Alger |
Common terms and phrases
administration Afrique Aicha Ben Mohamed Alger se civilise ambulance Arabes bastonnade Bédouins Bélida Bône cadi çais charité choses chrétiens cimetières colonie conquête conversions Coran coton culte Dely-Ibrahim dépenses docteur Giscard docteur Poussin donner Doueira Dutrône écoles maures église élèves enfans pauvres envoyé établissemens européens filles fortes à réparer française frères général Voirol Gibraltar gieuse Gouvernement gouverneur général hommes hôpital Jésuites jeunes européens jour Juifs l'abbé Spitz L'ADMINISTRATION D'ALGER l'école l'établissement d'Alger l'infirmerie de Dely l'ins l'instruction lieu long-tems lorsqu'on Madame Lanoue Mahomet maître major des Zouaves malades marabout Mauresque Mecque Médine ment militaires Ministres Mitidja mœurs Moniteur Monsieur mosquées moyens muphti musulmans négocians nombre parens pasteur pays pensant places fortes population premier établissement principes prospérité protection protestans rabbin refuser régence religion renseignemens reste rétribution reuse reux révoqués ROCHEFOUCAULD-LIANCOURT s'est secours sentimens seraient seulement Sidi-Hamed soins souscription stylet de roseau synagogues tems tion trentaine d'enfans tribus truction publique
Popular passages
Page 52 - Au milieu de la Mitidja, à douze lieues d'Alger, au delà de notre poste le plus avancé, s'élève une construction récente , ouvrage de quelques Français. C'est une ambulance ou hôpital provisoire destiné spécialement aux Arabes malades des tribus de la plaine et des montagnes de l'Atlas.
Page 26 - ... d'inspirer de la confiance, et dans le sein desquelles les marabouts, qui exercent une influence quelquefois sans bornes, ne manqueraient pas de tirer parti contre nous de tout ce qui pourrait ressembler à du prosélytisme religieux. Le Gouvernement a si bien senti cela qu'il n'a...
Page 53 - A la fondation de cette ambulance se lie un plus grand projet, celui de faire précéder tous les pas importants de notre armée en Afrique par des établissements semblables, afin de ne pas maintenir seulement les populations indigènes par la force des armes, mais de nous les attacher par les bienfaits de la civilisation. « Une telle entreprise doit trouver en France de la sympathie et des encouragements.
Page 31 - Espérons qu'on sentira bientôt l'indispensable bienfait qu'on est tenu d'accorder aux consciences, d'une indépendance dans leurs croyances et dans leurs conversions ; c'est de l'exercice de ce droit que proviendra , par le contact journalier dessentimens , la civilisation avec les convictions qui lui appartiennent. On respectera la religion générale des Maures , mai...
Page 10 - Gouvernement a d'abord profondément blessé les croyances religieuses des indigènes, et, pur une singulière contradiction, ou par un étrange retour à d'autres principes exagérés , a ensuite , par respect pour ces mêmes croyances , offensé les convictions et entravé l'exercice des cultes dus chrétiens.
Page 9 - Dès le premier jour de la conquête, on promit de respecter les cultes et les croyances des habitans; mais on ne promit pas que les Européens ne professeraient pas leurs croyances et n'oseraient pas suivre les exercices de leurs propres cultes.
Page 53 - ... Nous avons, il est vrai, bien des pauvres près de nous, et Alger est bien éloigné ; mais la bienfaisance sait compatir à tous les maux, et il sera glorieux pour elle de les soulager jusque sur les terres d'Afrique. « Ce sera, sans doute, avec une émotion profonde que des Arabes et des Kabyles apprendront qu'à tant de distance, des Français, des chrétiens ne sont pas indifférents à leurs souffrances, et leur envoient des secours comme à des frères. Ainsi, un acte de la plus noble...
Page 27 - ... a donné l'ordre de réintégrer les anciens •, enfin , il a menacé de renvoyer d'Alger le curé qui avait baptisé la Mauresque.
Page 14 - Médine , et les propriétaires ruinés sont venus à Paris réclamer vainement les fonds dont on les avait dépouillés.
Page 11 - ajoute-t-il , « devions-nous leur laisser vingt fois plus de mosquées qu'il ne leur en fallait réellement?