Œuvres de Voltaire, Tom 36Lefèvre, 1829 |
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Agésilas aime amant amour Andromaque Ariane Arsinoé assez Attale Bajazet barbarisme beau beautés Bérénice Boileau Britannicus chose Cinna cinquième acte cœur comédie comique comte d'Essex Corneille crime défaut dessein digne Dircé discours doit donne expression Exupère faible femme fesait fils Flaminius force froide gloire goût grace Grimoald Héraclius héros homme Horace intéressant intrigue j'ai jamais l'ame l'amour l'auteur Laodice Léontine madame malheur Martian Massinisse mauvais ment mérite mort neille Nicomède noble obscur OEdipe Othon paraît parcequ'il parceque parler passion Perpenna personnage Pertharite Phèdre Phocas phrase pièce Pierre Corneille Plautine poëte Pompée PRÉFACE DU COMMENTATEUR première scène presque prince princesse Prusias Pulchérie qu'un Quinault Racine raison reine remarque ridicule rien Romains Rome s'il sang SCÈNE I.
V. SCÈNE VII seigneur semble sentiments serait Sertorius seul solécisme Sophonisbe soupirs spectateur style sublime sujet théâtre Thésée Thomas Corneille Titus tragédie tragique trône tyran veut dire Viriate Voilà vrai
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Strona 77 - Sans la langue, en un mot, l'auteur le plus divin, Est toujours, quoi qu'il fasse, un méchant écrivain.
Strona 7 - Heureux qui, satisfait de son humble fortune, Libre du joug superbe où je suis attaché, Vit dans l'état obscur où les dieux l'ont caché ! ARCAS Et depuis quand, seigneur, tenez-vous ce langage?
Strona 421 - Et qui, voyant un jour la douleur vertueuse De Phèdre, malgré soi perfide, incestueuse, D'un si noble travail justement étonné, Ne bénira d'abord le siècle fortuné Qui, rendu plus fameux par tes illustres veilles, Vit naître sous ta main ces pompeuses merveilles ? Cependant, laisse ici gronder quelques censeurs Qu'aigrissent de tes vers les charmantes douceurs.
Strona 420 - J'ai su, par une longue et pénible industrie, Des plus mortels venins prévenir la furie ; Ah ! qu'il eût mieux valu , plus sage et plus heureux , Et repoussant les traits d'un amour dangereux, Ne pas laisser remplir d'ardeurs empoisonnées * Un cœur déjà glacé par le froid des années ! De ce trouble fatal par où dois-je sortir?
Strona 496 - Jamais au spectateur n'offrez rien d'incroyable; Le vrai peut quelquefois n'être pas vraisemblable, Une merveille absurde est pour moi sans appas ; L'esprit n'est point ému de ce qu'il ne croit pas.
Strona 353 - Je les voyais tous trois se hâter sous un maître Qui, chargé d'un long âge, a peu de temps à l'être, Et tous trois à l'envi s'empresser ardemment A qui dévorerait ce règne d'un moment.
Strona 110 - Je meurs dans cet espoir, satisfaite et tranquille. Si je n'ai pas vécu la compagne d'Achille, J'espère que du moins un heureux avenir A vos faits immortels joindra mon souvenir; Et qu'un jour mon trépas, source de votre gloire, Ouvrira le récit d'une si belle histoire.
Strona 423 - J'ai choisi la gloire pour guide; J'ai prétendu marcher sur les traces d'Alcide. Heureux, si j'avais évité Le charme trop fatal dont il fut enchanté ! Son cœur n'eut que trop de tendresse. Je suis tombé dans son malheur; J'ai mal imité sa valeur, J'imite trop bien sa faiblesse.
Strona 441 - Sais-tu quel est Pyrrhus ? T'es-tu fait raconter Le nombre des exploits... Mais qui les peut compter? Intrépide, et partout suivi de la victoire, Charmant, fidèle enfin, rien ne manque à sa gloire.
Strona 420 - Lorsque, d'un vain désir à ta perte poussée. Tu conçus de le voir la première pensée. Tu pleures ! et l'ingrat, tout prêt à te trahir, Prépare les discours dont il veut t'éblouir ; Pour plaire à ta rivale, il prend soin de sa vie.