PHYLLIS EN PÉRIL: The Best Of Stanton

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Éditions Dominique Leroy, Mar 2, 2011 - Comics & Graphic Novels - 38 pages

 D'origine russe, Eric Stanton naquit en 1926 à New- York où il vécut jusqu’à sa mort en 1999.

Il commença à dessiner des filles en détresse en 1947 pour le compte de l'éditeur Irving Klaw, fondateur et directeur de Nutrix Corporation. Jusqu'à la fin des années 1950, il illustra ainsi une trentaine d'histoires dont environ un tiers sous forme de bandes dessinées.

La froideur pulpeuse de ses personnages, la richesse des modelés, son souci du détail piquant rendirent Eric Stanton plus célèbre que ses prédécesseurs (en particulier John Willie et Jim) et même que ses collègues pourtant talentueux (Gene Bilbrew, Ruiz...). Sa réputation franchit alors les frontières, associée au renom de Nutrix Corporation.

Vers 1960, à la suite d'un différent avec Irving, Klaw, Stanton cesse de travailler pour Nutrix et décide d'exploiter lui-même sa célébrité… mais son œuvre postérieure à 1960, si elle contient encore quelques joyaux, n'atteindra jamais plus la perfection constante de son travail pour Nutrix.

La bande dessinée présentée ici Phyllis en péril, parue en 1950, pastiche les histoires d'espionnage en vogue à l'époque et permet à l'auteur de donner libre cours à ses fantaisies.
Collection créée par Robert Mérodack. Collection Vertiges Passions.

Bande dessinée, 26 pages, 20 planches et couverture en noir et blanc d'Eric Stanton.

About the author (2011)

D'origine russe, Eric Stanton naquit en 1926 à New- York où il vécut jusqu’à sa mort en 1999. Il commença à dessiner des filles en détresse en 1947 pour le compte de l'éditeur Irving Klaw, fondateur et directeur de Nutrix Corporation. Jusqu'à la fin des années 1950, il illustra ainsi une trentaine d'histoires dont environ un tiers sous forme de bandes dessinées. La froideur pulpeuse de ses personnages, la richesse des modelés, son souci du détail piquant rendirent Eric Stanton plus célèbre que ses prédécesseurs (en particulier John Willie et Jim) et même que ses collègues pourtant talentueux (Gene Bilbrew, Ruiz...). Sa réputation franchit alors les frontières, associée au renom de Nutrix Corporation et il devint le maître incontesté du « bondage »… Vers 1960, à la suite d'un différend avec Irving Klaw, Stanton cesse de travailler pour Nutrix et décide d'exploiter lui-même sa célébrité… mais son œuvre postérieure à 1960, si elle contient encore quelques joyaux, n'atteindra jamais plus la perfection constante de son travail pour Nutrix.

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