Revue des deux mondesAu Bureau de la Revue des deux mondes, 1873 |
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Revue des deux mondes François Buloz,Charles Buloz,Ferdinand Brunetière,Francis Charmes,René Doumic,André Chaumeix Affichage du livre entier - 1831 |
Expressions et termes fréquents
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Fréquemment cités
Page 851 - Depuis environ trente ans, vos principaux ministres ont ébranlé et renversé toutes les anciennes maximes de l'État, pour faire monter jusqu'au comble votre autorité, qui était devenue la leur parce qu'elle était dans leurs mains.
Page 744 - Il en est de même de tout ce que les animaux produisent par ce mouvement occulte. La nature les instruit à mesure que la nécessité les presse ; mais cette science fragile se perd avec les besoins qu'ils en ont : comme ils la reçoivent sans étude , ils n'ont pas le bonheur de la conserver ; et toutes les fois qu'elle leur est donnée, elle leur est nouvelle , puisque la nature n'ayant pour objet que de maintenir les animaux dans un ordre de perfection bornée, elle leur inspire cette science...
Page 743 - ... laissés. Et comme il conserve ces connaissances, il peut aussi les augmenter facilement ; de sorte que les hommes sont aujourd'hui en quelque sorte dans le même état où se trouveraient ces anciens philosophes s'ils pouvaient avoir vieilli jusqu'à présent en ajoutant aux connaissances qu'ils avaient celles que leurs études auraient pu leur acquérir à la faveur de tant de siècles.
Page 552 - C'est la récompense de notre armée. Quand, rentré chez moi, je rencontrerai un pauvre diable marchant sur une seule jambe, il me dira : La jambe que j'ai laissée sous les murs de Paris me donnait le droit de compléter ma conquête ; c'est ce diplomate, qui a tous ses membres, qui m'en a empêché. Nous ne pouvons nous exposer à froisser à ce point le sentiment public.
Page 746 - Il s'élève, à ce que je vois, bien des partis fanatiques contre la raison; mais elle triomphera, comme vous le dites, au moins chez les honnêtes gens ; la canaille n'est pas faite pour elle.
Page 851 - Il est vrai que vous avez été jaloux de l'autorité, peut-être même trop, dans les choses extérieures ; mais, pour le fond, chaque ministre a été le maître dans l'étendue de son administration. Vous avez cru gouverner, parce que vous avez réglé les limites entre ceux qui gouvernaient. Ils ont bien montré au public leur puissance, et on ne l'a que trop sentie. Ils ont été durs, hautains, injustes, violents, de mauvaise foi.
Page 851 - Ils ont bien montré au public leur puissance , et on ne l'a que trop sentie. Ils ont été durs, hautains, injustes, violents, de mauvaise foi. Ils n'ont connu d'autre règle, ni pour l'administration...
Page 563 - ... repos, pour réunir, dans les tristes circonstances où se trouve le pays, une assemblée nationale. Nous avons demandé des explications à Paris, et gardé le silence, attendant pour vous parler l'arrivée promise d'un membre du gouvernement, auquel nous étions déterminés à remettre nos pouvoirs.
Page 149 - ... celui-ci adopte ses enfants, les nourrit, les entretient aux frais de la coterie. En toute occasion, l'associé est sûr du concours le plus actif de ses coassociés. Lorsqu'une tribu est en proie à la guerre civile, les çof envoient fréquemment des contingents armés pour soutenir leurs sociétaires respectifs.
Page 839 - II n'était pas de mon intérêt de prendre des hommes d'une qualité éminente. Il fallait, avant toutes choses, faire connaître au public, par le rang même où je les prenais, que mon dessein n'était pas de partager mon autorité avec eux.