Satyre Menippée de la vertu du catholicon d'Espagne et de la tenue des Estats de Paris: augmentée de notes tirées des éditions de Du Puy et de Le Duchat, et d'un commentaire historique, littéraire et pholologique, Volume 1 |
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advis ainsy apres asseurance aussy avoit avoyent Biarnois cardinal de Bourbon cardinal de Lorraine cardinal de Pelvé Catholicon catholique cause celuy ceste chose couronne d'Aumale d'estre deputez desja devots Dieu disoit duc de Guyse duc de Mayenne éditions portent empescher escrit Espagnols Estats estoit estonnez estoyent estre étoient étoit eust faict faisoit faisoyent fauxbourgs fraiz François fust general gens guerre Guise harangue Henri Henri III Henri IV Henry heretique j'ay Jacques Clément jours l'ennemy l'estat ladicte ligue ligueurs Lorraine maison maistre ment mesme messieurs monseigneur monsieur de Lyon monsieur le legat monsieur le lieutenant mort n'avoit n'estoit necessité Nemours nuict pain paix pape parcequ'il parler party pauvres peuple pouvoit predicateurs premières éditions president prince quoy religion roy d'Espagne roy de Navarre royaume ruyne saincte Union Satyre Menippée sçavoir sçay seigneur seize Senlis seroit sieur soubs tost tousjours toutesfois tres trève veoir vouloit vouloyent
Popular passages
Page 173 - ... je les pends par les aisselles ; je leur chauffe les pieds d'une pelle rouge ; je les mets aux fers , et aux ceps ; je les enferme en un four, en un coffre percé plein d'eau ; je les pends en chapon...
Page 41 - Il vous faut tout rendre, Roys embarrassez, Qui voulez tout prendre, Et rien n'embrassez ! Un grand Capitaine Vous a terrassez : Allons, Jean du Mayne, Les Roys sont passez ! 1.
Page 173 - ... les pieds d'une pelle rouge, je les mets aux fers et aux ceps; je les enferme en un four, en un coffre percé plein d'eau; je les pends en chapon rosty, je les fouette d'estrivieres; je les sale, je les fais jeusner; je les attache estenduz dedans un ban.
Page 117 - Ceux qui prendront garde de bien pres aux commencements et progrez de nostre saincte Union , auront bien occasion de crier les mains joinctes au ciel : O Dieu ! si vos jugements sont incomprehensibles , combien vos graces sont elles plus admirables ! et de dire avec l'Apostre : Ubi abundavit delictum , ibi superabuiulavit et gratia.
Page 175 - ... bon catholique : la justice n'est pas faicte pour les gentilshommes comme moy : je prendray les vaches et les poules de mon voisin quand il me plaira : je leveray...
Page 172 - Je voy je ne scay quels degoustez de nostre noblesse qui parlent de conserver la religion et l'Estat tout ensemble : et que les Espagnols perdront à la fin l'un et l'autre, si on les laisse faire : quant à moy je n'entends point tout cela : pourveu que je...
Page 142 - Aussi n'oyez-vous plus aux classes ce clabaudement latin des regens qui obtondoyent les oreilles de tout le monde : au lieu de ce jargon, vous y oyez à toute heure du jour l'harmonie argentine et le vray idiome des vaches et veaux de laict, et le doux rossignolement des asnes et des truyes qui nous servent de cloches...
Page 141 - ... et passé par tous les degrez de la discipline scholastique. Mais maintenant par le moyen de vous autres, messieurs, et la vertu de la saincte Union , et principalement , par vos coups du ciel...
Page 185 - Là dessus, se leva un des deputez, nommé le sieur d'Angoulvent:, qui fit entendre tout haut qu'il avoit charge de la Noblesse nouvelle, et de la part des honnestes hommes et maistres de l'Union, de remonstrer quelque chose d'importance touchant leur qualité, et qu'il estoit raisonnable qu'il fust ouy avant le...
Page 55 - Ligue, j'ay toujours eu ma conservation en telle recommandation , que j'ay preferé de tres-bon cœur mon interest particulier à la cause de Dieu, qui sçaura bien se garder sans moy et se venger de tous ses ennemys; mesme je puis dire avec verité que la mort de mes frères ne m'a point tant outré, quelque bonne mine que j'aye faict, que le desir de marcher sur les erres (traces) que mon pere et mon bon oncle le cardinal m'avoyent tracées, et dedans lesquelles mon frere le Balafré estoyt heureusement...