Mayence: (1792-1793) |
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Allemands août assiégeants Augenzeuge avaient avril bataillon batteries Beaupuy Belag Biebrich Bingen Bockenheimer Böhmer Boost Bretzenheim çais camp canon capitulation chasseurs chef cheval club clubistes commandant commissaires Conseil de guerre Convention Convention rhéno-germanique Custine Czettritz d'Oyré Daniel Dumont Darst Decaen déclara décret députés despotes Deux-Ponts devint Dorsch Dubayet Eickemeyer ennemis Forster in Mainz fort Saint-Charles française garnison Gaudin Gaudy général de brigade Genusse der Freiheit Gesch grenadiers Grünstadt Hofmann hommes jacobins jour Journal du siège juillet juin Kalkreuth Kastel Kléber Klein Kostheim l'armée du Rhin l'Electeur Landau lettre liberté Mainz im Genusse Mainzer Zeitung Marienborn Marigny mars matadors mayençaise Mayence Mém ment Metternich Meusnier Montaut Mosbach Müller n'avait Nackenheim nationale nommé officiers patriotes peuple proclamation Prusse Prussiens Remling républicains République Reubell Reubell et Merlin Reynaud Rheinstrome rhénane rhéno-germanique Schaal Schöne Rarit séance serait Simon soldats Spire Strantz tion troupes Wedekind Weisenau Wiedereinnahme Worms Zahlbach
Popular passages
Page 41 - Réveillère-Lepaux, déclara, au nom de la nation française, qu'elle accorderait fraternité et secours à tous les peuples qui voudraient recouvrer leur liberté.
Page 124 - ... le présage des nouvelles victoires que la République française remportera bientôt sur un ennemi profondément atteint, qui sera la victime de ses propres efforts. Oui, c'est sur les bords du Rhin que vous allez reconquérir et Liège et Aix-la-Chapelle, et que vous fermerez à jamais l'entrée de la terre libre aux myrmidons des despotes.
Page 4 - La Rive gauche du Rhin, limite de la République française, ou Recueil de plusieurs dissertations, jugées dignes des prix proposés par un négociant de la rive gauche du Rhin . . . (Paris: Desenne, Louvet et Devaux, an IV), 66, 151, 174. 30. Albert Sorel, "Le Comité de salut public et la question de la rive gauche du Rhin en 1795,
Page 127 - Forster, diffère infiniment de celui des Français ; nous ne possédons pas cette vivacité d'esprit, cette fougue qui vous caractérise; nous sommes plus lents, mais quand nous avons pris un parti, nous y tenons jusqu'à la mort.
Page 297 - Corps législatif, quoique ses sentiments ne fussent pas des plus vigoureux, a toujours fait voir une âme sensible et noble. Je demande qu'il soit décrété que la garnison de Mayence a bien mérité de la patrie ; que...
Page 62 - Tu verras par la lettre ci-jointe de Hoffmann , combien les Mayençais lui donnent de la tablature. Il ya parmi eux des gueux assez mal famés, qui n'avaient pas de souliers à mettre; ce sont ceux-là qui ont les prétentions les plus exagérées, et qui crient le plus fort. , cendres arrosé de sang. J'excepte seulement Cholet, avec deux ou trois villages, qui sont venus au-devant des républicains leur jurer fraternité, et les seconder dans la guerre de la liberté '. » Et cette ressemblance...
Page 124 - C'est là le vœu du peuple germanique sur la rive gauche du Rhin, que ses représentants rassemblés à Mayence ont émis au bruit du canon prussien. Ce canon, tiré pour alarmer les enfants nouveau-nés de la liberté, n'a fait que provoquer leur courage, et n'a servi qu'à rendre plus imposante la promulgation de leurs décrets. Le grand fleuve qui nous sert de rempart naturel...
Page 125 - Mayence, au confluent du Rhin et du Mein, où le commerce d'Allemagne viendra se concentrer entre les mains du négociant français ; Mayence, la clef de l'Empire germanique, et la seule ouverture par laquelle vos provinces étaient accessibles aux armées et aux convois d'artillerie de vos ennemis ; Mayence enfin reconnue par les maîtres de l'art pour un chef-d'œuvre de fortification, où les efforts impuissants des despotes ligués contre vous viendront échouer toutes les fois qu'ils oseraient...
Page 123 - Assemblée des Législateurs de la France par un Peuple régénéré, dont les guerriers de la liberté ont brisé les fers, nous vous demandons la permission de parler en son nom, et d'offrir ses adorations à la divinité qui, du fond de ce sanctuaire, régnera sur l'univers. Après avoir juré de vivre...
Page 269 - Rieffel! Voilà le brigand, voilà le scélérat! » et ils se précipitèrent sur lui. L'hôtelier du Roi d'Angleterre eût été jeté par terre et sûrement assommé; mais Dubayet et Merlin intervinrent. « Prenez garde, cria Merlin d'une voix tonnante, je suis représentant de la nation française, et je saurai venger toute insulte; je vous conseille la modération; ce n'est pas la dernière fois que vousme voyez ici!