L'Église et l'empire Romain au ive siècle. 3 pt. [in 6]. |
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Aétius Alamans Alexandrie âme Ammien Marcellin Antioche Apol ariens arriva assez Athan Athanase Athen avaient Barbares Basile c'était césar choses chrétiens concile concile de Sardique Constance Constantin Constantinople cour courage Ctésiphon culte d'Alexandrie d'Antioche d'Athanase députés devant Dieu Dieux dit-il divine église Égypte empereur ennemis envoyé Epit Eunape Eusèbe Eusébiens évêques faisait fleuve Gallus Gaule Grèce Grég Grégoire Hilaire homme Ibid impériale jeune jour Julien l'armée l'Église l'empereur l'empire l'évêque laisser lettre Liban Libanius Libère lui-même Magnence main maître Marc ment Mithra monde mort n'avait n'était Nicée Oribase paganisme païens paroles passer pensée père péril Perses peuple philosophie porter pourtant pouvait préfet prélats premier prêtres prince province reste Rhin rien romaine Rome s'était saint Salluste Sapor Sardique semi-ariens sentiments seul siége Sirmium soldats sorte souverain Sozomène Span suivant temple Théod tion troupes trouvait venir voulait Zosime
Popular passages
Page 196 - ... dans ses eaux un nombre prodigieux de » poissons. » Parlerai-je des douces vapeurs de la terre, et » de la fraîcheur qui s'exhale du fleuve ? Un autre » admirerait la variété des fleurs et le chant des » oiseaux ; mais je n'ai pas le loisir d'y faire atten
Page 122 - ... Christ était précisément le nœud de toutes les discussions de l'Église et la source de toutes ses agitations. Cyrille détourne prudemment les yeux de ses auditeurs de ce douloureux spectacle. A l'abri de la neutralité prudente qu'avait gardée son honnête mais timide évêque, Maxime, au milfeu de tous ces conflits, il évite de se prononcer trop ouvertement sur les questions débattues autour de lui.
Page 313 - Athanase, et il y avait du peu» pie qui veillait dans l'église , attendant la fête du » lendemain. Le chef militaire Syrianus apparut » tout à coup avec des soldats, au nombre de » plus de cinq mille , ayant des armes et des » épées nues , des arcs , des flèches , des lances ; » et il les range autour de l'église. Moi , qui ne » croyais pas juste dans un si grand désordre , » d'abandonner le peuple , et qui préférais m'ex...
Page 195 - ... tinue et difficile à franchir; de l'autre, une large « croupe de montagne qui communique à la vallée par « quelques chemins tortueux, ferme tout passage. Il n'y « a qu'une seule entrée, dont nous sommes les maîtres. « Ma demeure est bâtie sur la pointe la plus avancée « d'un autre sommet ; de sorte que la vallée se découvre « et s'étend sous mes yeux, et que je puis regarder d'en « haut le cours du fleuve plus agréable pour moi que le « Strymon ne l'est aux habitants d'Amphipolis.
Page 260 - N'y at-il que lui dans le monde? Plût au ciel que cette secte impie ne comptât qu'un Athanase ! Choisissez qui vous voudrez pour vous expliquer vos Écritures : il vaudra bien celui que vous regrettez. Si c'est son habileté qui vous attache à lui (car j'entends dire que c'est un grand intrigant), sachez que c'est pour cette habileté même que je veux qu'il sorte. C'est par soi-même une chose très-incommode qu'un faiseur d'embarras à la tète d'un peuple.
Page 186 - L'Esprit-Sainl, dit Grégoire de Nysse, lui avait donné une source si merveilleuse de science, qu'encore que les paroles coulassent de sa bouche comme un torrent, elles étaient trop lentes pour exprimer sa pensée. Quelque prompte que fût sa langue, elle ne pouvait suffire à l'abondance d'idées que son esprit lui fournissait. Elle dépassait la vilessedes autres intelligences, mais ne pouvait suivre la sienne.
Page 31 - ... et se courbaient sous ses paroles; où ce qui plaisait au commun des évêques était empêché par le magistrat? Il commandait et des soldats nous faisaient mouvoir.... En somme, frères chéris, quelle espèce de concile était-ce là, où la mort et l'exil pouvaient être prononcés contre nous s'il avait plu à César?... S'ils avaient voulu juger en évêques, qu'avaient-ils besoin de comtes et de soldats et de lettres de convocation signées d'un empereur...
Page 76 - Jupiter; cl comme le tumulte s'accroissait, grossi par les échos du palais , je priai ce dieu de m'envoyer quelque signe de sa volonté. » Ce signe , racontait-il plus tard à un de ses confidents, fut le génie même de l'empire qui lui apparut sous la forme que les médailles lui prêtent d'ordinaire. «Julien, lui dit la vision, je me tiens à ta porte depuis longtemps; tu m'as déjà plus d'une fois refusé l'entrée. Si tu me repousses encore, aujourd'hui, quand tant de gens me conduisent...
Page 443 - Il édifie les églises pour démolir la foi... Je te déclare donc, ô Constance, ce que j'aurais dit à Néron, ce que Décius et Maximien auraient entendu de ma bouche.
Page 357 - ... un conseil de justice autant que de prudence; et il s'élève sans effort à cette noble idée de la liberté religieuse, que les chrétiens opprimés et les païens déchus invoquèrent tour à tour, mais que l'Église appuyée sur l'empire parut d'abord méconnaître. « Vous travaillez, dit-il, vous gouvernez «l'État par de sages maximes; vous veillez, jour et « nuit, afin que tous ceux qui sont sous votre empire « jouissent du bienfait de la liberté. La connaissance de « Dieu ' est...