Histoire de l'ancienne infanterie française, Volume 4J. Corréard, 1851 |
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Common terms and phrases
1er bataillon 1er février 1er janvier 1er mars Anjou année août assiégés attaque Autrichiens avril bataille blessés brave brigadier le 1er camp 1er camp le 1er campagne canon capitula château chemin couvert colonel-lieutenant combat commandement compagnies de grenadiers comte Condé contribua corps Créqui Dauphin décembre défense demi-brigade demi-lune détachement devint drapeaux Dunkerque ensuite envoyé Espagnols février fit le siége garde giment grenadiers guerre Guyenne hommes INFANTERIE INFANTERIE FRANÇAISE juillet juin Kelh L'ANC L'année suivante l'armée de Flandre l'ennemi Landau Lesdiguières lieutenant lieutenant-colonel lieutenant-général Lorraine Louis Lyonnais major maréchal de camp marquis ment mestre de camp mis en garnison mois d'octobre Montausier novembre octobre officiers passa l'hiver pendant Philisbourg Piémont place Plessis-Praslin Poitou prince prise prit quartiers d'hiver quitta reçut RÉGIMENT D'INFANTERIE régiment de Flandre régiment du Dauphin rendit reste Rhin Royal Saint-Omer Sault secours septembre servit soldats sous-lieutenant Toulon Touraine troupes tué Turenne Valenciennes Vaubecourt Villeroy
Popular passages
Page 32 - Bientôt la fête, qui jusque-là n'avait été animée que par une gaîté un peu libre , il est vrai , mais encore décente , se change en une orgie complète. Les vins prodigués avec une munificence vraiment royale, échauffent toutes les têtes ; la musique exécute divers morceaux propres à exalter davantage les esprits, tels que : 0 Richard, ô mon roi, l'univers t'abandonne!
Page 30 - J'ai vu avec plaisir la liste que je vous avais demandée, et que tous vous ont accompagné. .Témoignez à la municipalité combien je suis satisfait de sa conduite. Je n'oublierai pas son attachement et sa...
Page 31 - La musique des gardes du corps et du régiment de Flandre embellissait la fête. Au second service on porta quatre santés, celles du roi, de la reine, de M. le dauphin et de la famille royale. La santé de la nation fut proposée, omise à dessein selon les uns, expressément rejetée par les gardes du corps qui étaient présents, selon un grand nombre de témoins.
Page 32 - La cour arrive : la reine s'avance jusqu'au bord du parquet, tenant par la main M. le dauphin. Cette visite inattendue fait pousser des cris d'allégresse et de joie. La princesse prend alors le dauphin dans ses bras, et fait le tour de la table au milieu des applaudissements les plus vifs et des acclamations les plus bruyantes.
Page 31 - ... investi de tous les genres de séduction , fut bientôt désorganisé. Le duc d'Orléans, pour fournir à ces dépenses, fit en Hollande un emprunt de six millions. La cour n'ignorait point ces intrigues : il était naturel qu'elle cherchât à les déjouer. Les officiers du régiment de Flandre furent présentés à la famille royale , admis au jeu de la reine , et à ces petites faveurs que prise tant la vanité française. On peignit au peuple ces moyens innocens comme des séductions criminelles...
Page 33 - ... avait fait de plusieurs drapeaux, la princesse répondit en ces termes : « Je suis fort aise d'avoir donné des drapeaux à la garde nationale de Versailles. La nation et l'armée doivent être attachées au roi , comme nous le leur sommes nous-mêmes. J'ai été enchantée de la journée de jeudi. L'approbation que la reine parut donner à ces scènes de démence , fit pâlir et frissonner les bons citoyens, et tressaillir de joie les conjurés. Dans leurs audacieux transports , ils ne connaissent...
Page 32 - La princesse prend alors le dauphin dans ses bras , et fait le tour de la table au milieu des applaudissemens les plus vifs et des acclamations les plus bruyantes. Les gardes-du-corps , les grenadiers, tous les soldats, l'épée nue à la main , portent la santé du roi, de la reine et du dauphin. La cour les accepte, et se retire. Bientôt la fête, qui jusque-là n'avait été animée que par une gaîté an peu libre , il est vrai , mais encore décente , se change en une orgie complète.
Page 182 - ... assez châtiée; outre que la voulant conserver pour une garnison considérable , je ne la voulus pas mettre en état de ne la pouvoir soutenir. Outre les armes que j'avois fait donner au régiment du Plessis, il n'y eut pas un soldat mal vêtu que son...