La vie de Saint Eustache: poème français du XIIIe siècle

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H. Champion, 1928 - Eustachius, Saint - 95 pages
 

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Page v - Zeitschrift fuer romanische Philologie, XXIV, p. 161-198 ; XXV, p. 94-109. Halle, Niemeyer, 1900 et 1901. Dans cet ouvrage, MW Suchier étudie un ancien poème français qui raconte la destruction de Jérusalem par Titus. M. Paul Meyer, dans le Bulletin de la Société des anciens textes français, (I, p. 52-54), et Paulin Paris, dans YHistoire littéraire de la France (XXII, p.
Page xiii - Buddhistische elementen in eenige episoden uit de Legenden van St. Hubertus en St. Eustachius.
Page 1 - Tôt de vertu et bon et bel, Face escout et entende a moi, Et je li dirai sans desvoi D'un saint martyr la passion De grant mérite et de haut nom.
Page xii - Classiques français du moyen âge. 3. — Version en vers octosyllabiques à rimes léonines, par Pierre (de Beauvais). Premier vers: De diverses meurs se diversent. Édition par M. John R. Fisher dans The Romanic Revient, VIII (1917), p.
Page 11 - Irez en est, tant nel sai dire. Vers le cerf sovent ses euz mire, Ker mont li plot a esgarder, Quer n'i vit omques mes som per. Desus le cerf entre les cors, Qui ierent gros et Ions et fors, Un signe li est apparu : Omques plus bel ne fu veù, Ker une croiz resplendissant, Plus clere que soleil...
Page 12 - Et um ymage de desus Qui luissoit autretant ou plus, Desus le cerf li aparut; Omques plus bel signe ne fust. L'ymage qui iert en la croiz Au cerf donne raison et voiz, A Placidum le fait parler, Si conme ja m'orrez conter : «O, Placidé, que as eu? Por quoi m'as hui tant enseù ? Por moi prendre t'es traveillié, Or n'en soiez mes engregié. A toi me sui venu moustrer En cest cerf et a toi parler.
Page 33 - Sire, quel part vous plest il que nous aillons? (Tristan en prose (éd. Blanchard) 69 l09) Par ou veus tu que je t'en tail?
Page xii - Review, t. VIII, n° i, 1917, p. 1-67 ; 3° la version VI (ms. Dublin, Trinity Collège D. 4. 18), publiée par M. Mario Esposito dans Textes et études de littérature ancienne et médiévale, premier fascicule, Florence 1921, p. 27-61 (cf. Romania, XLVII, 457) ; et 4" la version VII (Bibliothèque nationale, ms.
Page 13 - Sont presentees devant moi. Por cen me vien monstrer a toi, Ker ge ne woil mes que Sathan De toi face eschar n'emgam, Ke il te plus face aorer Ses ydoles ne cultiver, Ke riens n'oient, ne riens ne sentent, Ne ver ne dïent, ne ne mentent. N'est plus droiz qu'en mon soudoier Soit le deable parchonnier. Mien est le bien, suen est le mal Dont il est seignor primcipal.
Page 12 - Por moi prendre t'es traveillié, Or n'en soiez mes engregié. A toi me sui venu moustrer En cest cerf et a toi parler. Je sui li sauverez Jhesus Qui des cieuz descendi cha jus Por raaindre l'umain lignage. Si comme il pert en cest ymage...

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