Œuvres de Molière, Volume 6Hachette et cie., 1881 |
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acte ADRASTE ALCMÈNE amant amour AMPHITRYON ANGÉLIQUE assez Auger avoit Bacchus Ballet des Muses Bergers chante chose CLAUDINE CLÉANTHIS Climène CLITANDRE cœur COLIN comédie conte couplet danse DAPHNÉ dialogue dire divertissement donne doute édition entrée ENTRÉE DE BALLET ÉROXÈNE esclaves étoient étoit fabliau femme FILÈNE fille GEORGE DANDIN GÉRONTE Grange HALI Ibidem ISIDORE j'ai JACQUELINE joué JUPITER l'acte l'Amour l'École des maris l'édition de 1734 l'édition originale latin Léandre Littré livret LUBIN LUCAS Lucinde Lully LYCARSIS LYCAS MADAME DE SOTENVILLE mari MARTINE Médecin Médecin volant Mélicerte MERCURE Mlle Mme de Sévigné Molière MONSIEUR DE SOTENVILLE musicien musique MYRTIL NAUCRATES note Notice parler paroître Partition Philidor Pastorale comique Paysan PEDRE personnage Philène pièce plaisir Plaute poëte première Princesse d'Élide raison représentation rien Robinet rôle Rotrou SCÈNE VII seul SGANARELLE Sicilien sieur sorte SOSIA SOSIE suivantes théâtre Tircis trouve VALÈRE veux Voilà voyez ci-après Voyez ci-dessus
Popular passages
Page 99 - Un cordonnier, en faisant des souliers, ne saurait gâter un morceau de cuir, qu'il n'en paie les pots cassés ; m,ais ici l'on peut gâter un homme sans qu'il en coûte rien. Les bévues ne sont point pour nous, et c'est toujours la faute de celui qui meurt. Enfin, le bon de cette profession est qu'il ya parmi les morts une honnêteté , une discrétion la plus grande du monde ; et jamais on n'en voit se plaindre du médecin qui l'a tué.
Page 538 - AH! que je. .. Vous l'avez voulu, vous l'avez voulu, George Dandin, vous l'avez voulu; cela vous sied fort bien , et vous voilà ajusté comme il faut : vous avez justement ce que vous méritez.
Page 233 - N'avancez pas davantage, et demeurez dans cet endroit, jusqu'à ce que je vous appelle. Il fait noir comme dans un four; le ciel s'est habillé ce soir en Scaramouche, et je ne vois pas une étoile qui montre le bout de son nez. Sotte condition que celle d'un esclave!
Page 492 - Quel est le plus criminel d'un paysan assez fou pour épouser une demoiselle, ou d'une femme qui cherche à déshonorer son époux? Que penser d'une pièce où le parterre applaudit à l'infidélité, au mensonge, à l'impudence de celle-ci, et rit de la bêtise du manant puni?
Page 366 - S'acharne au vain honneur de demeurer près d'eux, Et s'y veut contenter de la fausse pensée Qu'ont tous les autres gens que nous sommes heureux Vers la retraite en vain la raison nous appelle...
Page 508 - L'alliance qu'ils font est petite avec nos personnes : c'est notre bien seul qu'ils épousent ; et j'aurais bien mieux fait, tout riche que je suis, de m'allier en bonne et franche paysannerie que de prendre une femme qui se tient au-dessus de moi, s'offense de porter mon nom, et pense qu'avec tout mon bien je n'ai pas assez acheté la qualité de son mari.
Page 20 - Le médecin respondit en son art bien avoir remèdes propres pour faire parler les femmes, n'en avoir pour les faire taire. Remède unique estre surdité du mary, contre cestuy interminable parlement de femme.
Page 549 - ... mon désert, où j'ai fait vœu de vivre, Vous soyez, sans tarder, résolue à me suivre : C'est par là seulement que, dans tous les esprits, Vous pouvez réparer le mal de vos écrits, Et qu'après cet éclat, qu'un noble cœur abhorre, II peut m'être permis de vous aimer encore.
Page 470 - N'a rien du tout qui déshonore; Et, sans doute, il ne peut être que glorieux De se voir le rival du souverain des dieux.
Page 549 - ANGÉLIQUE. Moi? je ne vous l'ai point donnée de bon cœur, et vous me l'avez arrachée. M'avez-vous, avant le mariage, demandé mon consentement, et si je voulois bien de vous? Vous n'avez consulté pour cela que mon père et ma mère : ce sont eux, proprement, qui vous ont épousé, et c'est pourquoi vous ferez bien de vous plaindre tonjours à eux des torts que l'on pourra vous faire.