Revue d'Aquitaine, journal historique de Guienne, Gascogne, Béearn, Navarre, etc., direction J. Noulens, Volume 111867 |
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Anselme Arnaud de Bordenave avaient avocat avoit Bagneris baron Basses-Pyrénées Batbie Bazas Béarn Benque Bernard Bèro bigouza Bertrand Bigorre Bordeaux capitaine César château cheval Comminges comte de Moret d'Armagnac D'HÉBRAIL d'Oloron dépense devant dialectes Dillon diocèse Dlle donner Dordogne écurie épousa États Extraits famille femme fief fille Foix fou du Roy frère gages Gascogne Gaule gauloise général Gironde Guillaume Henri historiques homme Jacques Jean Jeanne d'Albret Jehan jour Juillac l'abbaye l'abbé l'an l'église l'histoire langue romane Languedoc latin Laubesc lettres livres Louis Luctérius Madame maison ment mois monastère Monluc Montauban Narbonne Navarre Nérac Noulens ordre du Roy pages Pardaillan paroisse passé Paul Raymond Peyrissas Pierre porter prieur prochain numéro Rauzan Raymond Revue d'Aquitaine romaine Royne s. t. payés saint Saint-Jean Saint-Jean-de-Blagnac Saint-Lézer seigneur sera seul siècle sieur Solminihac suite au prochain Tarbes Temple templier tion Toulouse trésorier trouve valet de chambre Vercingétorix vicomte
Popular passages
Page 567 - Je sais un paysan qu'on appelait Gros-Pierre, Qui, n'ayant pour tout bien qu'un seul quartier de terre, Y fit tout à l'entour faire un fossé bourbeux, Et de Monsieur de l'Isle en prit le nom pompeux.
Page 105 - Soit pour le fond, soit pour la forme, l'Histoire de la Conquête de la Guyenne par les Français, de ses antécédents et de ses suites, histoire d'où se détache de la façon la plus brillante la grande et sainte figure de l'archevêque de Bordeaux...
Page 372 - Gœsar, au rapport de Grégoire de Tours, chap. XI : De gloria plurimorum martyrum, qui prouve cette vérité par la dédicace de l'église cathédrale à l'honneur de saint Jean-Baptiste, du sang précieux duquel elle conserve religieusement une partie de ce temps-là, qui s'y voit par une espèce de prodige en nostre (*) De cette sobre description des environs de Bazas, je rapprocherai, comme contraste, la description si féconde en épithètes qu'en fait l'abbé O'Reilly...
Page 234 - XIV lui-même les fit cesser : après avoir entendu la lecture des dépêches de l'abbé d'Asnières, il dit : « II suffit que cet ermite soit homme de bien : puisqu'il ne veut pas être connu, il le faut laisser en paix et ne nous point opposer à ses desseins.
Page 563 - Croyez-vous qu'à la cour chacun ait son vrai nom? De tant de grands seigneurs dont le mérite brille, Combien ont abjuré le nom de leur famille? Si les morts revenaient ou d'en haut ou d'en bas, Les pères et les fils ne se connaîtraient pas.
Page 498 - La poésie, hélas ! n'est rien par elle-même, Tant que d'un cœur, touché de la grâce suprême, Elle n'éveille pas de sympathique amour ; C'est Galatée, ouvrant ses yeux de marbre au jour: Pour qu'elle vive, il faut qu'on l'aime!
Page 446 - Ceux qui tenaient des terres en friche n'osaient aller couper des pampres chez le voisin, elles planter chez eux, par crainte de certaines mesures prohibitives remontant au roi Richard : « Quiconque entrera • » dans la vigne d'autrui, et y prendra une grappe de raisin, » payera cinq sols ou perdra une oreille. * Sur la place de Bordeaux, la mise en vente des vins provenant des fiefs non mouvants du souverain britannique était interdite. Ce qui constitue aujourd'hui les ressources vitales du...
Page 334 - Alpes; et dont l'autre, prenant à droite par les Alpes Cottiennes, inonde l'Italie, la peuple, et y apporte ces patois italiens identiques à nos patois français, et qui attestent, depuis deux mille cinq cents ans, la persistance invincible de la langue gauloise ('). Tels sont les deux guides qui, avec Fauchet, Leibnitz, Ménage, Ducange, et les travaux plus récents de Lanzi et de Momsen, nous dirigeront dans notre patriotique entreprise. Nous ne serions pas dignes de la société de tels collaborateurs,...
Page 294 - Durant les neuf jours que je demeurai à Ayre, dit Monluc dans ses Commentaires, que Henri IV appelait la flible du soldat, nous nous assignâmes de nouveau en un village, où nous traitâmes des moyens pour la défense de la Guyenne. Je veux mettre par escrit ici, qu'est-ce que je faisais à Ayre, à cinq lieues des ennemis, et en une ville qui n'était plus fermée, n'ayant que cinq compagnies, que le capitaine Caste! a commandait, et une du vicomte Labatut, qui était venue à Ayre, et parce que...
Page 564 - Si certains morts revenaient au monde, et s'ils voyaient leurs grands noms portés , et leurs terres les mieux titrées , avec leurs châteaux et leurs maisons antiques , possédées par des gens dont les pères étaient peut-être leurs métayers , quelle opinion pourraient-ils avoir de notre siècle ? Rien ne fait mieux comprendre le peu de chose...