Aus dem nachlass Varnhagen's von Ense, Volume 13F.A. Brockhaus, 1870 |
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Abend Achmet Amnestie Arnim's auf's Berlin besonders Besuch Bettina von Arnim Blätter Brief Buch deſſen deßhalb Desterreich Deutschen Dienstag dieſe Donnerstag erst erzählte Frankreich Franzosen Frau Bettina Fräulein Armgart Freitag früher Fürsten ganze General Gerlach giebt Gisela gleich Goethedenkmal Graf groß große Haß Haus heißt Hemsen Herman Grimm Herr Herrn heute Humboldt in's iſt Jahren jezigen jezt Juni Kaiser katholischen König Kreuzzeitung laſſen läßt Leute lezten lich ließ Louis Bonaparte Ludmilla machen macht Mann Manteuffel Menschen Minister Mittwoch Montag muß müſſe Nachmittags Nachricht Nationalzeitung Neuchatel neue Neue Preußische Zeitung Neuenburger Sache Papiere Paris Parthei Polizei Preußen preußischen Prinzen von Preußen Rath recht Rede Regierung Ristori Rußland ſagt sagte ſchon Schwarzen Adlerorden Schweiz ſehr ſei ſein ſeine ſelbſt September 1856 ſich ſie ſind soll Sonnabend Sonntag sprach Thaler Theil thun Urtheil Varnhagen von Ense verurtheilt viel Volk Voß weiß wenig wieder wohl wollen wollte Zeitungen zulegt
Popular passages
Page 300 - C'est-la le propre de l'esprit humain, que les exemples ne corrigent personne: les sottises des pères sont perdues pour leurs enfants ; il faut que chaque génération fasse les siennes.
Page 412 - Je souhaite, que l'illustre famille, à laquelle appartient mon hôte, fasse longtemps le bonheur de la France, et que cette grande nation reste toujours l'amie de la Prusse!
Page 329 - II est impossible à la cour de concevoir jamais ce que c'est que le public; elle est toujours, sur cet article, dans un délire dont l'expérience même ne
Page 39 - fei, — tout se fait dans sa tête, personne n'est dans son secret, tout le monde est dirigé par lui sans même connaître le but de son action,
Page 39 - Oh je ne suis pas russe, je suis allemande, j'aime l'Allemagne et surtout la Prusse", aber leiber
Page 149 - votre gouvernement que j'attends des faits, que c'est assez de paroles, de démonstrations, je veux des faits, entendez-vous, des faits !
Page 198 - Les nièces de Mazarin, études de mœurs et de caractères au dix-septième siècle, par
Page 420 - Pour moi, qui écris ces tristes récits, je suis Français, et j'ose le dire, Français profondément attaché à la grandeur de mon pays, et cependant je ne puis, au nom même des sentiments que j'éprouve, exprimer un blâme pour ces patriotes allemands, qui, servant à contrecoeur une cause qu'ils sentaient n'être pas la leur, revenaient à la cause qu'ils croyaient être celle de leur patrie, et qui malheureusement l'était devenue par la faute du chef placé alors à notre tête.
Page 149 - C'est à l'ancien ami de la maison que je le donne, pas à l'ambassadeur.
Page 412 - de la France, et que cette grande nation reste toujours l'amie de la Prusse!